« La nuit était merveilleuse – une de ces nuits comme notre jeunesse en connu, cher lecteur. Un firmament si étoilé, si calme ; qu’en le regardant on se demandait involontairement : peut-il vraiment exister des méchants sous un si beau ciel ? – et cette pensée est encore une pensée de jeunesse. Mais puissiez-vous avoir le cœur bien longtemps jeune. »