Leur amitié était de celles qui naissent de partage non seulement des bons moments, mais des expériences douloureuses, et tous deux avaient une conscience aiguë de la très mince frontière qui sépare la vie de la mort et dont beaucoup, hors de la sphère médicale, ne sont pas conscients. Ils savaient se faire rire, se consoler mutuellement, et même pleurer ensemble.