Il y a des gens qui sont persuadés qu'un meurtre, ou une mort brutale, de par sa violence et son caractère instantané, a le pouvoir d'impressionner la rétine du mort comme la pellicule d'un film. Que cette dernière scène reste gravée, et qu'on peut en extraire de l'oeil de la victime une photographie. Le fantasme de l'optogramme. (p. 104)