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4.56/5 (sur 269 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Chambery , le 18/11/1963
Biographie :

Florence Jouniaux est née le 18 novembre 1963 à Chambéry et réside actuellement en Haute-Savoie avec son mari et ses trois enfants. C’est au lycée de la Versoie qu’elle exerce le métier de professeur de lettres classiques avec passion. Enseigner, faire partager sa passion de la littérature est une vocation. Il y a quelques années, l’écriture a surgi dans sa vie sans crier gare, mais elle a écouté avec bonheur la muse qui lui susurrait les premières lignes d’un roman, qui est devenu une trilogie, inspirée de la Fantasy, dont le maître incontesté est Tolkien. Fidèle à son amour pour l’histoire antique, elle a ensuite écrit un roman historique situé au premier siècle avant J.C., dans la région des Allobroges. On y découvre la civilisation celte intégrée au monde romain, au travers d’une intrigue originale.
L’inspiration ne l’ayant pas quittée, elle écrit chaque jour et publiera prochainement une autre trilogie, ainsi que d’autres romans.
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Source : http://www.savoie.ialpes.com
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Bibliographie de Florence Jouniaux   (37)Voir plus

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Citations et extraits (40) Voir plus Ajouter une citation
Je reviendrai tout à l’heure pour lui donner à manger. Elle est tellement belle ! Je vais en prendre soin. Il faudra que je fasse attention à ne pas la serrer trop fort ! La dernière est devenue toute molle dans mes bras. Pourtant, je ne voulais pas lui faire mal… Je voulais juste un câlin. Je me sens tellement seul depuis que maman est partie ! Même si elle n’était pas gentille avec moi…
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C’est un engagement que je respecte, tu sais. Mais à mes yeux, l’engagement le plus fort, c’est le fait de vouloir un enfant avec toi. Pour une femme, crois-moi, c’est la plus belle preuve d’amour qu’elle puisse donner à l’homme qu’elle aime, s’il en a aussi le désir, évidemment.
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Elle entendit la clé tourner dans la serrure, symbole de sa réclusion. Cette porte, la franchirait-elle un jour pour retrouver la liberté ?
Depuis la veille, elle essayait d’imaginer mille et une façons de s’échapper, mais quel que fût le scénario envisagé, la fin était toujours la même : le géant l’en empêchait ou la rattrapait, et exerçait de cuisantes représailles, voire l’étranglait. Non, elle n'avait aucune échappatoire ! Son seul espoir était qu’il se fît arrêter par la police. Et encore, révélerait-il où il l’avait enfermée ? Le mieux, en fait, était que la police le suivît jusqu’à cette cave et l’arrêtât à ce moment-là.
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Dans chaque classe, c’est un mélange très hétérogène : d’un côté, les studieux, peu, de l’autre, ceux qui sont là mais ne savent pas pourquoi, donc bavardent et se fichent de ce que je raconte ; ceux qui ne comprennent pas grand chose et conséquemment font les imbéciles, et les pires, ceux qui sont de mauvaise foi et dans la provocation permanente… Ceux-là ne sont qu’un petit nombre mais ils te font devenir chèvre à la longue… Pour l’instant, ils ne me connaissent pas bien et je suis très ferme, alors ils se tiennent à carreaux. Mais à la moindre défaillance de ma part, ils s’engouffreront dans la brèche…
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Elle l’avait contrarié, elle en était consciente, mais il fallait qu’elle s’exprime, sous peine d’imploser ! Au moins, il lui ficherait la paix pendant un moment, se prit-elle à espérer. Si au moins il lui avait apporté un bon roman ! Contrairement aux idées reçues sur les gogo-danseuses, elle était instruite et ne faisait ça que pour payer ses factures et parce qu’elle était douée, ses parents étant morts dans un tragique accident de voiture, deux ans plus tôt. Mais aucun de ses camarades de fac, étudiants en psycho comme elle, n’était au courant de cette activité nocturne.
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Empruntez les couloirs du temps !
Nous retrouvons là la sympathique famille de patriciens dont nous avions fait la connaissance dans La stèle, en cette époque gallo romaine qui nous ressemble tant. Les héros de Florence Jouniaux ont cette faculté extraordinaire, rien qu'en regardant un portrait (ou une stèle) de faire un saut quantique de 2000 ans en arrière. Ainsi un pont s'établit entre les personnages d'aujourd'hui et nos lointains ancêtres romains, Nîmoins, Lyonnais. Ce voyage se double de deux scénarios bien menés, l'un contemporain, l'autre antique, le second concernant le trésor de la Tour Magne qui donne son titre au récit. L'érudition de l'auteure est pour beaucoup dans le charme de ce roman et ce fut pour moi un grand plaisir que d'assister à des séances de druidisme, un combat de gladiateurs ou simplement de voir une praticienne se faire apprêter par son esclave dédiée, toutes choses que l'on sent parfaitement documentées.
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La vie de couple était souvent faite de faux-semblants pour maintenir un fragile équilibre...
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Vous avez mis un sacré foutoir, hein, les auteurs! Vous devez bien rire! Moi, je vous le dis tout net : vous êtes des enfoirés ! Oui, oui ! Vous entendez bien ! C'est le terme qui convient ! Vous vous jouez de nous ! Et je n'ai pas fini ma diatribe ! Je me sens en verve, comme Cyrano, tiens ! " Je pourrais dire... Oh Dieu... bien des choses en somme ! / En variant le ton... par exemple, tenez, Agressif / "Moi, messieurs, les auteurs limités / Si j'avais une plume à ce point décriée / Il faudrait sur le point que je m'en débarrasse !!/ "Amical : je la rangerai à votre place ! / Ou je la cacherai dans de vieilles godasses ! / Un peu tiré par les cheveux, cette rime ! ...
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CLAIRE. - Laissez-le ronchonner derrière son arbre avec ses caniches psychotiques et ne vous préoccupez pas : nous allons tirer tout ceci au clair ensemble, si vous le voulez bien, monsieur Monsieur... ?
LÉOPOLD. – Appelez-moi Léopold.
CLAIRE. - Moi, je suis Claire.
AIMÉ. - Pas toujours...
CLAIRE, roulant des yeux. – Ha-ha. On ne me l'avait jamais faite, celle-ci.. (À Léopold. ) Et le vieux grincheux derrière le buis est Aimé.
AIMÉ - Pas toujours non plus, mais on va dire que je me répète, que je fais des blagues de diront, comme disent les jeunes, [...]
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C’était un putain de maniaque ! Comment s’appelait cette manie d’ailleurs ? Trichotillomanie ? Non, puisqu’il ne se touchait ni ne s’arrachait ses propres cheveux, mais plutôt un fétichiste des cheveux, blonds et longs apparemment, comme les siens, malheureusement pour elle… Oui, c’était un enfant dans un corps d’homme qui voulait jouer à la poupée… Les larmes lui montèrent aux yeux, puis elle se ressaisit : elle allait devoir faire preuve de patience, l’amener à lui faire confiance et à la moindre occasion, elle s’échapperait.

 
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La vérité était que le commis avait une peur horrible de l’eau. À Vernon, son état maladif ne lui permettait pas, lorsqu’il était enfant, d’aller barboter dans la Seine ; tandis que ses camarades d’école couraient se jeter en pleine rivière, il se couchait entre deux couvertures chaudes. Laurent était devenu un nageur intrépide, un rameur infatigable ; Camille avait gardé cette épouvante que les enfants et les femmes ont pour les eaux profondes. Il tâta du pied le bout du canot, comme pour s’assurer de sa solidité.

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