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4.75/5 (sur 7 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Autun
Biographie :

On dit que certains apprennent à courir avant de marcher. Pour ma part, je lisais déjà des livres avant de savoir lire. On peut ainsi dire que j'ai grandi avec les "mots". L'écriture ne m'est venue qu'un peu plus tard. Nouvelles, puis poèmes, pour finir par me lancer dans cette aventure. La Bannie fut commencé l'été de mes 18 ans. Le premier manuscrit a subi depuis de nombreuses relectures et réécritures. Le même sort sera réservé aux 5 autres romans qui se trouvent dans mes cartons en espérant que d'autres suivent !

http://florencemullot.free.fr/

Facebook :
https://www.facebook.com/Florence-Mullot-109170242477597/

Où trouver mes romans :
http://www.lulu.com/spotlight/florencemullot


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Citations et extraits (19) Voir plus Ajouter une citation
La domination n'est jamais le meilleur moyen pour accéder à la victoire.
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Être sage ne signifie pas que l'on est un bon stratège ou un homme de guerre.
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J'ai l'habitude de repousser les gens, de quelque manière que ce soit. Le plus souvent, il suffit de se montrer froid et distant. Les gens s'éloignent d'eux-mêmes.
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La peur s'imposait devant l'inconnu, c'était l'instinct de conservation.
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---Que s’est-il passé ?
---La guerre.
---Oui… C’est évident. Rien d’autre ne pourrait causer autant de dégâts.
---Tu te trompes…
---Quoi ?
---Ce que tu vois n’a pas été causé par la guerre. Elle en est en partie responsable, c’est vrai, mais c’est la perte de quelque chose qui a conduit à la mort de ma terre.
---La perte de quelque chose ?
Elle soupira.
---Oui, un sentiment.
Je fus interloquée par sa réponse, et cela ne lui échappa pas.
---Ne fais pas cette tête ! Toi aussi, tu l’as perdu. Même si tu ne veux pas te l’admettre.
---L’espoir…
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La haine est quelque chose qui apparaît pour une bonne raison. C'est un sentiment qui prend le temps de mûrir.
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Je posai un regard inquiet sur cette ville de lumière. Elle qui m’avait vue naître, grandir et disparaître. Les néons éclaboussaient la nuit, les piétons déambulaient comme des insectes grouillants, le silence s’entrecoupait de hurlements et de crissements, le vent n’était jamais frais et accueillant. Rien ne changeait. Rien ne changerait jamais. Pourtant beaucoup voyaient en elle un havre de paix, un endroit magnifique où on pouvait commencer et finir sa vie en toute sécurité. Mais, il ne fallait pas gratter trop profondément pour découvrir la supercherie. Il suffisait juste d’être un peu lucide, observer ces petits indices que l’on préfère ignorer…
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Mes yeux brûlants de larmes se levèrent sur un homme au visage triste. La lune me cachait ses traits mais l’espace d’un instant, je crus que…
---Papa ?
Ce ne pouvait être lui, je le savais au plus profond de moi. Mais que me coûtait-il de m’accrocher encore à cet espoir ? Comme pour me répondre, il s’abaissa pour que je puisse enfin le dévisager. Il lui ressemblait tant. Il ressemblait tant à mon père. La même expression, une tendresse froide, mais la tristesse s’insinuait dans ses yeux, chose à laquelle mon père ne m’avait pas habituée. Je reconnus tout de suite l’ancien qu’il était. Beaucoup aurait pu alors se tromper et croire qu’il n’était qu’un honnis, un de ces monstres sans cœur. Mais comment les peuples qui vivaient ici pouvaient se méprendre ? La différence entre ces hommes était des plus flagrantes.
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- Rocket ?
- Quoi, Mia ?
- Il y a un drôle de monsieur là-bas qui te regarde.
Je tournai la tête dans la direction que m’indiquait ma nièce et m’aperçus en effet qu’un homme me dévisageait. Il semblait hésitant et le fait que nos regards se croisent n’arrangea rien à son état de nervosité.
- Il va se faire pipi dessus, tu crois ?
J’essayai de ne pas rire à la remarque de Mia, mais il était vrai que le bonhomme n’en menait pas large. Il sembla pourtant se décider et se rapprocha de nous.
- Monsieur Leroy Rockarthur ?
Ma nièce pouffa. Je me retournai vers elle en haussant les sourcils ce qui accentua son hilarité. Personne ne m’appelait comme ça. Même pas la reine. Ma mère, à la rigueur, ou ma sœur aînée quand elles voulaient me passer un savon. Et cela n’était pas arrivé depuis belle lurette.
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Attaquer avait toujours été le meilleur moyen de se protéger.
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