Keseberg, quant à lui, se comporte en charognard et dépouille les défunts. Il met la main sur le manteau et la veste du bouvier, lui dérobant aussi une épingle de cravate en or, une chemise et le coupe-chou qui lui servait à se raser. La mort peut bien rôder partout, l'appât du gain survit encore. (p.147)