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Citations de Frances Hodgson Burnett (213)


Le monde est plein d’ânes qui braient et qui ne braient que des mensonges.
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Il n'y a pas d'influence au monde plus puissante que celle d'un coeur généreux [...]
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Madame Marie,
Que tout contrarie,
Qu’avez-vous dans votre jardin ?
De la menthe, du romarin.
Et des soucis couleur chagrin.
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- [...] Le monde est plein d’ânes qui braient et qui ne braient que des mensonges.
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Comme cela pouvait changer quelqu’un à son avantage, un sourire !
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- Là où tu cultives une rose, mon gars, un chardon ne saurait pousser.
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Rien ne lui fera plus de bien qu’une corde à sauter. C’est le jouet le plus sensé qu’on puisse donner à un enfant. Qu’elle s’amuse à sauter en plein air : ça lui développera les muscles des bras et des jambes et les fortifiera.
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...Tant et si bien qu'ils en vinrent à rire tous les deux pour des riens, comme seuls des enfants peuvent le faire quand ils sont heureux d'être ensemble. Ils riaient tellement qu'à la fin cette petite fille délaissée, fermée, incapable d'amour, et ce petit garçon malade, obsédé par la mort et la maladie, ne se montraient pas moins bruyants, pas moins gais, pas moins expansifs que n'importe quels autres enfants à qui la nature a donné la bonne humeur et la santé.
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Un jeune garçon était assis par terre, adossé à un arbre et jouant d’un chalumeau en bois grossier. C’était un petit gars, d’une douzaine d’années, avec une figure singulière. Il semblait reluisant de propreté, son nez était retroussé, ses joues rouges comme des coquelicots, et jamais Mary n’avait vu d’yeux si ronds et si bleus dans un visage humain. Sur le tronc de l’arbre où il était appuyé, un écureuil marron était perché et le regardait, et, derrière un buisson tout proche, un faisan tendait son cou délicat pour voir aussi ; tout près du musicien deux lapins étaient assis, humant l’air avec des museaux frémissants, et il semblait réellement que tous s’étaient approchés pour entendre l’étrange et doux petit appel du chalumeau.
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Si vous n'avez jamais eu de jardin, vous aurez de la peine à comprendre. Si vous avez la chance d'en posséder un, vous savez qu'un livre ne suffirait pas à décrire tout ce qui s'y passe.

p.253
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- [...] Mère dit que les deux pires choses qui puissent arriver à un enfant, c’est de ne jamais faire ce qu’il veut, - ou de le faire toujours. Elle ne sait pas lequel est le pire.
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Une des nouvelles découvertes, qu'on a commencé à faire au siècle dernier, c'est que les pensées – de simples pensées – sont aussi puissantes que des piles électriques, certaines aussi bonnes que la lumière du soleil, d'autres aussi mauvaises que du poison. Laisser une pensée de tristesse ou de haine s'installer dans votre esprit est aussi dangereux que de laisser un germe de scarlatine s'établir dans votre corps. Si vous le laissez s'installer, vous ne pourrez peut-être plus vous en dépêtrer aussi longtemps que vous vivrez.

One of the new things people began to find out in the last century was that thoughts - just mere thoughts - are as powerful as electric batteries - as good for one as sunlight is, or as bad for one as poison. To let a sad thought or a bad one get into your mind is as dangerous as letting a scarlet fever germ get into your body. If you let it stay there after it has got in, you may never get over it as long as you live.

Chap. 27
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Parfois [les nuages] formaient des îles ou de hautes montagnes qui entouraient des lacs d'un bleu turquoise intense, vert chrysoprase, ou couleur d'ambre liquide. De sombres promontoires surplombaient d'étranges mers perdues, et des isthmes fabuleux reliaient des contrées fabuleuses. Il y avait des endroits sur lesquels on aurait cru pouvoir courir, grimper ou se tenir debout en attendant ce qui allait se passer ensuite - et peut-être se laisser flotter vers le large quand tout se serait dissous.
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- Penses-tu qu’il désire qu’il meure ? murmura Mary.
- Non, mais il voudrait qu’il ne soit jamais né. Et mère dit que c’est la pire chose du monde pour un enfant. Ceux qui ne sont pas désirés ne prospèrent presque jamais.
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- Le printemps arrive, dit-il. Ne peux-tu pas le sentir ?
Mary respira bien fort et crut le sentir en effet.
- Je sens quelque chose de bon frais et d’humide, dit-elle.
- C’est la bonne terre grasse, répondit-il tout en bêchant. Elle est de bonne humeur et s’apprête à faire tout pousser. Elle est contente quand le printemps vient. Elle s’ennuie, en hiver, quand elle n’a rien à faire. Dans les jardins de plaisance, là-bas, les plantes doivent commencer à bouger sous terre. Le soleil les réchauffe. Vous verrez des pointes vertes sortir de terre bientôt.
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Elle croyait se rappeler les tournants qu’il fallait prendre pour rouver le couloir où s’ouvrait la porte couverte de tapisserie, celle par laquelle Mme Medlock avait surgi, le jour où elle s’était égarée. Le bruit venait de ce côté. Aussi avançait-elle, avec sa lumière vacillante, presque à tâtons, le cœur lui battant si fort qu’il lui semblait l’entendre. Les pleurs faibles et lointains continuaient et l’aidaient à se diriger. Quelquefois ils cessaient un moment, puis recommençaient. Était-ce là qu’il fallait tourner ? Elle s’arrêta et réfléchit – oui, c’était bien là.
Le long de ce couloir, puis à gauche, puis en montant deux larges marches, puis de nouveau à droite. Oui, voilà la porte de tapisserie.
Elle l’ouvrit très doucement et la referma derrière elle, elle se trouva debout dans le corridor et entendit les pleurs très distinctement, quoiqu’ils ne fussent pas bruyants. C’était de l’autre côté du mur, à sa gauche, et, quelques mètres plus loin, il y avait une porte. Elle voyait une lueur briller au bas de cette porte. Quelqu’un pleurait dans la chambre et ce quelqu’un était un enfant.
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- Je pensais que peut-être il pleuvait toujours ou qu’il faisait toujours sombre en Angleterre, dit Mary.
- Que non ! dit Martha, assise sur ses talons parmi ses brosses noires. Jamais de la vie ! Le comté d’York est le pays le plus ensoleillé du monde quand il y a du soleil.
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Apparemment, quand les gens avaient le choléra, ils ne pensaient plus qu’à eux-mêmes. Mais si tout le monde était guéri, sûrement quelqu’un se souviendrait d’elle et viendrait la chercher.
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En arrivant d'Amérique, il ignorait tout de la grandeur et des richesses, mais il avait une nature confiante et droite, et ceci vaut tous les trésors du monde.
p 213
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Le sentiment d'être éternel est l'un des plus étranges, des plus troublants, que l'homme puisse éprouver au cours de sa vie.

p.231
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