"Chez nous, dans ce genre d'affaires, la libération des prisonniers n'est jamais l'objectif premier du pouvoir. Sa priorité est l'élimination physique des preneurs d'otage quoiqu'il en coûte. Voilà pourquoi la prise d'otage de Beslan, tout comme celle du théâtre delà Doubrovka, à Moscou, en 2002, s'est terminée en boucherie." (P. 106)