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Citations de Francine Noël (14)


Elle a mal tourné, aussi, ma tante Kathleen ; c’est la guidoune de la famille. En avez-vous, une guidoune, vous autres ?
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Pour moi, Babel est un symbole positif. Ce n'est pas un cauchemar niveleur mais un lieu d'asile et de tolérance. Ce mythe exprime un désir légitime d'autodétermination: pouvoir parler librement et agir. Se construire. C'est cela, Babel: le Verbe et la Pierre servant d'assises à la Ville.
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Blanche était le genre de mère que vous auriez aimé avoir eue; pas une mère martyre, ni souffreteuse, ni hagarde, ni agrippante, mais une femme ayant son quant-à-soi, sa vie à elle, ses activités, curieuse encore, et vivante, étonnament vivante.
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L'incipit, que je n'ai jamais oublié: "La misère humaine est vaste."
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C'était cela la véritable pauvreté; ils étaient tellement pauvres qu'ils n,avaient même pas de souvenirs. (p. 483)
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Il y a des choses qui se racontent mal, et l,humiliation en est une. (p. 446)
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...mais j'ai pensé qu'il avait l,air d'un veau au-dessus de son auge. Quand il ne parle pas, ce gars -là, il a l,air épais , c'est sa voix qui fait tout... (. 174)
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Ladouceur aimait la vie, le monde, les gens, et à défaut d'être toujours bien dans sa peau, il était à l,aise dans sa tête. (p 26)
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Elle était devenue une vieille petite fille fragile. (p.125)
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Pendant les dernières années de sa vie, il y eut ce lien qui nous tenait, le fil du téléphone. (p 115)
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Francine Noël
Pendant les dernières années de sa vie, i ly eut ce lien qui nous tenait, le fil du téléphone. (p 115)
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...elle aimait les Survenants, et dans sa balance, un Espagnol absent pesait plus lourd qu'un Québécois présent. (p. 109)
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En la quittant, je ne m,affirmais pas, je la fuyais. Et j'emportais avec moi sa réussite. (p.74)
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C'est ça qu'elle trouvait extraordinaire : on pouvait vouloir mourir et personne ne s'en doutait, on ne dérangeait pas les gens, on restait polie.
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