Né(e) à : Laval , le 25/04/1959
Francine Pelletier est une auteure québécoise de science-fiction et de littérature jeunesse.
Elle est diplômée du Cégep de Bois-de-Boulogne et d'un baccalauréat ès Arts de l'Université du Québec à Montréal en enseignement du français. Plutôt que de se diriger vers l'enseignement, elle opte pour l'écriture. De 1981 à 1986, elle participe à des ateliers d'écriture animés par Élisabeth Vonarburg.
Elle fait par la suite ses premiers pas en science-fiction par la publication d'une première nouvelle, "Le retour des gueux", en 1983. En 1988, elle remporte son premier Grand Prix de la science-fiction et du fantastique québécois pour sa nouvelle "La petite fille du silence". Le recueil "Le temps des migrations", dont elle est issue, remporte également le Prix Boréal.
Parallèlement, elle fait paraître un premier roman pour la jeunesse, "Le rendez-vous du désert", en 1987 dans la collection "jeunesse-pop" des éditions Paulines. Près de vingt autres romans suivront dans cette collection.
En 1997, elle fait paraître le premier tome de sa trilogie de science-fiction "adulte" "Le Sable et l'Acier". Les deuxième et troisième tome remporteront une nouvelle fois les honneurs du Grand Prix de la science-fiction et du fantastique québécois en 1998. De plus, le deuxième tome de cette trilogie, le roman "Samiva de Frée", a reçu le prix Boréal 1999 ainsi que le prix Aurora 2000 de la science-fiction canadienne.
Secrétaire de rédaction chez Médiaspaul de 1993 à 1999, elle se consacrera à temps plein à l'écriture à partir de 1999.
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Retrouvez tous les balados du Salon dans tes oreille ici: https://bit.ly/3sVYd6R À l'occasion des 60 ans des Éditions du Boréal, une discussion enrichissante vous attend avec les journalistes Frédérick Lavoie, Francine Pelletier et Alexandra Szacka. Face à l'emprise grandissante des géants du Web sur les médias canadiens, nos panélistes partagent leurs réflexions et explorent l'essence et les défis de leur métier de journalistes. Une occasion de sonder la dynamique entre journalisme, censure et liberté d'expression. Avec Michel Désautels, Frédérick Lavoie, Francine Pelletier et Alexandra Szacka. Le Site Web du #SalonDuLivreDeMontreal : https://www.salondulivredemontreal.com/ Retrouve-nous sur tous nos réseaux sociaux INSTAGRAM: https://www.instagram.com/salonlivremtl/ TIKTOK: https://www.tiktok.com/@salonlivremtl FACEBOOK: https://www.facebook.com/salondulivredemontreal/ #slm2023
— Puis, avec le passage du temps, nous nous sommes égoïstement refermés sur nous-mêmes. Certains en sont même venus à craindre les gens du désert, les traitant de rebelles…
— Cette fermeture était le résultat de la peur, une peur dont nous devons avoir honte.
(p. 359)
(p. 191)
(Alire, p. 113)
(Alire, p.257)
(p. 161)
(p. 232)
Le livre les eaux de Jade est très loin de la réalité. Sais un livre de science-fiction. Ce livre est dur a comprendre pour les 14 ans et moins. Le roman ne ma pas du tout plus pour trois raisons, la première je n’aime pas lire, la seconde je n’aime pas les romans de science-fiction, les seuls que j’adore sais des biographies et troisièmement l’histoire est dur a suivre. L’intrigue est là jusqu'à la fin même si je n’aime pas lire je le continuais pareil, juste pour savoir l’intrigue de la fin. Elle vient à la fin fin fin du livre. L’histoire est vraiment intrigante. Les personnages du récit me plaisent bien parce qu’ils sont très bien décrits. Ils y en à des beaucoup plus attachants et réaliste que d’autre. Mais ils y a des personnages qui passe une fois au début de l’histoire et sais plat. Sais du ‘Bla Bla’ et qu’il son inutiles au reste du récit.
Errare humanum est
Il a écrit : "Tous les peintres impressionnistes pèchent par insuffisance technique. Dans les arts comme dans la littérature, la forme seule soutient les idées nouvelles et les méthodes nouvelles. Pour être un homme de talent, il faut réaliser ce qui vit en soi, autrement on est qu'un pionnier. Les impressionnistes sont précisément selon moi des pionniers. Un instant ils avaient mis de grandes espérances en Monet ; mais celui-ci paraît épuisé par une production hâtive ; il se contente d'à-peu-près ; il n'étudie pas la nature avec la passion des vrais créateurs. Tous ces artistes-là sont trop facilement satisfaits. Ils dédaignent à tort la solidité des œuvres longuement méditées." (Indice : le bonjour d'Alfred !)
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