J'écris parce que la vie est ennuyeuse la plupart du temps, parce que c'est une suite sans fin de contraintes et de soucis. J'écris pour penser à autre chose ou, mieux, pour ne penser à rien. J'écris parce qu'écrire, c'est comme être amoureux, on est nouveau, libre - et porté par un désir formidable; et c'est mieux qu'être amoureux, parce qu'être amoureux, c'est l'être de quelqu'un, et quelqu'un, c'est le début des malentendus et des déchirements.