En effet, la pacification achevée, l'armée est relayée par une administration coloniale qui devient vite pléthorique et peu efficace. A part quelques brillantes personnalités comme le colonel Gallieni, le commandant Lyautey, le capitaine Joffre, admirés par tous, militaires, administrateurs et colons ont du mal à s'entendre, ils n'ont pas les mêmes conceptions de la colonisation et vivent souvent séparés. (p. 21)