(…) Mais ça, c’est moi. Pas le film, qui me semblait ennuyeux. Beaucoup de dialogues et aucune course-poursuite. Quand j’ai rencontré Tennessee Williams, j’ai tout de suite su que je ne devais rien attendre d’un auteur vêtu de rose pâle et flanqué d’un toutou à rubans rouges.
Mon boulot sur le plateau consistait plus ou moins à ne rien faire. Le barman me servait, et je consommais mes boissons calmement, au bar.