Franck saisissait mieux les enjeux autour du sang et, quand on parlait d’or rouge, ce n’était pas une image.
Son schéma suintait le fric. Peu importait l’état physique des donneurs en début de chaîne ou des malades en bout de circuit, peu importait qu’ils crèvent d’anémie ou de leur maladie du sang. Un brouillard d’entreprises et de financiers exploitaient la misère et la transformaient en actions immatérielles qui grimpaient sur les marchés. Point barre.