J’étais devenu un compétiteur du sexe, finalement on ne peut plus détestable et d’autant plus débile que je ne concourrais que contre moi-même et mes propres records minables.
Mais je n’étais certainement pas d’humeur à m’encombrer de scrupules ou de peur du ridicule : désormais j’étais une bête, une bête à queue sans conscience ni culpabilité d’aucune sorte, et je l’assumais totalement.