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3.66/5 (sur 127 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Vernon, Eure , le 18/08/1931
Mort(e) le : 16/01/2019
Biographie :

François Brune est un prêtre catholique français.

Il est auteur de nombreux ouvrages concernant la théologie, la spiritualité, la vie après la mort et le paranormal en rapport avec la foi catholique.

Après un baccalauréat latin-grec suivi de 4 années d’hypokhâgne et khâgne et de certificats en Sorbonne (latin et grec), François Brune entreprend des études de philosophie et de théologie (5 ans à l’Institut catholique de Paris et 1 an à l’Université de Tübingen).

Il obtient la licence de théologie de l’Institut catholique en 1960 et suit 2 années à l’Institut biblique de Rome, conclues par la licence d’Écriture Sainte en 1964.

Entré dans la compagnie des prêtres de Saint-Sulpice, en 1960, il enseigne dans divers grands séminaires, à Nantes, Rodez et Bayeux. Depuis 1970, il se consacre à l’écriture de ses ouvrages, ainsi qu'à l'animation de conférences dans divers pays, effectuant de nombreux voyages à la rencontre d’autres chercheurs.

Il intervient régulièrement sur les ondes de la radio Ici et Maintenant ! dans les émissions nocturnes de Jean-Claude Carton. Depuis le départ de ce dernier, François Brune est l'un des parrains de la nouvelle émission de Jean-Claude Carton, Toutes les étoiles en parlent sur idFM radio Enghien.
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Source : https://orthodoxie.com/
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François Brune, prêtre catholique a parlé et parle aux morts. Images et conversations exclusives. René Ferron producteur de Caméra89 présente ce phénomène.


Citations et extraits (47) Voir plus Ajouter une citation
Certains prétendent que nous ne pouvons faire de découverte scientifique, sur notre terre, que lorsqu’elle a été d’abord faite dans l’au-delà. Ce qui expliquerait peut-être que, très souvent, la même découverte soit faite presque au même moment par des équipes de chercheurs complètement indépendantes.
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Donc, la mort n'est pas la mort. Elle n'est qu'un passage à une nouvelle forme de vie, comme une nouvelle naissance. Mais comment ce passage se fait-il? En quoi consiste cette nouvelle existence? Procédons par étapes.
D'abord, il faut le dire, parce qu'il est toujours utile de savoir, pour le cas où... plus exactement pour le moment où il faudra bien faire ce passage : c'est merveilleux de mourir! Reconnaissons honnêtement qu'avant, on peut souffrir et même terriblement. Mais c'est du passage lui-même que je veux parler.
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Par la force des choses et pour respecter les termes exacts des messages des vivants de l’au-delà, j’ai été amené à utiliser un vocabulaire qu’une longue tradition de sentimentalisme religieux a vidé de son sens et rendu odieux à beaucoup. Je n’ai pu faire autrement. […] Prenez-les comme des mots de poètes, c’est-à-dire nettoyés de toute scorie.
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L’aspect du monde qui nous entoure, les événements qui s’y déroulent, peuvent très bien n’être qu’une transposition symbolique de nos pensées et de nos sentiments.
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Une série d'événements extraordinaires se sont déroulés sur une période de quatre jours, du 9 au 12 décembre 1531, au Nord de la ville de Mexico. Quatre jours qui ont profondément marqué toute l'histoire du Mexique. Il semble qu'ils soient même appelés aujourd'hui, dans la crise religieuse que traverse l'Eglise, à jouer un rôle de plus en plus important à travers le monde entier. Il n'existe certainement aucun endroit dans le monde où Dieu soit intervenu de manière aussi éclatante. Le Pape Benoît XIV l'avait reconnu en s'écriant, à propos de ces apparitions et de l'image miraculeuse de la Vierge : Dieu n'en a fait autant pour aucun peuple. (p.11)
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Il semble d’ailleurs qu’il y ait au moins une autre façon d’accéder aux mondes supérieurs, ou, peut-être, de traverser ce tunnel : en dormant. Beaucoup de nos chers disparus nous affirment que, très souvent, nous les rejoignons pendant notre sommeil. Ce sont alors de vraies retrouvailles provisoires, de doux entretiens, dont malheureusement nous perdons presque toujours le souvenir au réveil.
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Requiescat in pace –qu’il repose en paix, dit toujours le prêtre lors de l’enterrement. La paix dont il s’agit n’est pas précisément un repos. C’est un glissement de sens, dû à une traduction trop littérale, d’abord en grec (eirène), puis en latin (pax) enfin en français (paix) du mot hébreu shalom dont le sens est beaucoup plus riche. C’est la paix, mais aussi le bonheur, la plénitude, la vie. Dans bien des religions, les rites censés assurer le « repos des morts visaient surtout à rassurer les vivants qui n’avaient que trop peur de voir les morts revenir sous forme de fantômes insatisfaits.
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Si la bande se déroulait lors de l’enregistrement à la vitesse 9,5 à l’audition, on pouvait très bien percevoir aux mêmes endroits trois et même quatre voix de défunts différentes : une à la vitesse de l’enregistrement, donc 9,5 ; une autre à la vitesse accélérée de 19, avec un autre texte mais prononçant à la vitesse normale ; une autre encore avec un troisième texte prononcé à vitesse en déroulant la bande au ralenti, c’est-à-dire à vitesse 4,75 ; et parfois, ce qui est encore plus inexplicable, une quatrième voix, normale, avec un quatrième texte, en faisant passer la bande en marche arrière.
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Les différents niveaux de l'au-delà

Beaucoup distinguent sept plans (niveaux ou sphères, tous ces termes sont ici synonymes). Ainsi Georges Morrannier précise-t-il que chacun de ceux-ci comporte à son tour sept paliers. Mais attention, la Terre constitue dans son système le plan zéro et, en fin de parcours, tout le monde n'aboutit pas au septième. Il y a birfurcation après le cinquième vers le sixième ou le septième, ce dernier plan étant réservé aux saints, aux missionnaires, aux moines, aux grands fondateurs de religion ou grands initiés, à tous ceux qui se sont consacrés à Dieu, et qui, selon Georges Morrannier, ont en conséquence renoncé à fonder une famille et à perpétuer la race. On se demande alors où il situe Mahomet, qui était loin d'être célibataire avec ses dix-huit femmes, et même quelle place il accorde aux pasteurs protestants ou aux prêtres orthodoxes, mariés et pourtant consacrés au service de Dieu, ainsi même que tant d'évêques de la primitive Eglise pendant de nombreux siècles, à commencer par saint Pierre. Ajoutons que, la première sphère dans son système étant remplie de criminels, nombre d'entre-nous arriveront, espérons-le, à échapper à cette sphère et peut-être même à la deuxième, pleine de gens encore bien charnels et bien rivés à la terre.
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C'était le 17 septembre 1952. Le père Pellegrino Ernetti, qui se trouvait alors avec lui dans son laboratoire de physique expérimentale, s'en souvient parfaitement et c'est lui qui me l'a raconté lorsque je suis allé le voir dans son monastère San Giorgio Maggiore, à Venise. Ils travaillaient alors ensemble à filtrer des voix pour essayer d'en éliminer les harmoniques. Ils utilisaient pour cela un oscillographe et de vieux magnétophones qui ne fonctionnaient pas encore avec des bandes mais avec des fils. Ceux-ci rompaient tout le temps, nécessitant des opérations délicates et provoquant des pertes de temps. Or, depuis bien des années, depuis la mort de son père, chaque fois que le père Gemelli rencontrait une difficulté quelconque, il avait l'habitude de s'adresser immédiatement à son père défunt en l'appelant familièrement : "Papa, aide moi!" Dans ce travail, les occasions de l'appeler à l'aide ne manquaient pas. Ce jour-là, donc, le fil s'était à nouveau rompu, et, tout en faisant la réparation nécessaire, le père Gemelli avait lancé son appel habituel. C'est alors que, remettant l'appareil en marche, au lieu d'écouter le chant grégorien qu'ils étaient en train d'enregistrer, ces mots se firent entendre, distinctement : "Mais bien sûr que je t'aide, je suis toujours avec toi!"
Le père Gemelli, sur le coup, fut terrorisé. Il commença à trembler et à transpirer. Le père Ernetti l'encouragea cependant à faire un nouvel essai et la même voix se fit alors à nouveau entendre, claire mais un peu ironique : "Mais oui, gros bêta, tu ne vois donc pas que c'est bien moi?" Gros bêta (zuccone), c'était ainsi que son père l'appelait toujours affectueusement.
Les deux religieux se hâtèrent d'aller rendre compte de l'événement à Pie XII. Celui-ci rassura alors le père Gemelli :
"Mon cher Père, soyez tranquille, ceci est un fait strictement scientifique et n'a rien à voir avec le spiritisme ; l'enregistreur est un appareil objectif qu'on ne peut pas suggestionner, il capte et enregistre les vibrations sonores d'où qu'elles viennent. Cette expérience pourra peut-être marquer le début d'une nouvelle étude scientifique pour confirmer la foi dans l'au-delà."
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