- Je suis bien contente de n'être pas pauvre! Non seulement c'est fatigant, mais en plus c'est laid et ça pue.
- Les pauvres n'en sont pas aussi incommodés que tu le crois. Le Bon Dieu, dans sa bonté, leur a donné un odorat plus rude que le nôtre, et aussi des sens plus grossiers et des muscles plus durs à la fatigue. Si bien que les pauvres sont tout le contraire des personnes normales: quand ils n'ont pas de travail, ils sont malheureux. C'est pourquoi ils pleurent et supplient nos bons parents de leur en donner.