Mon père : Les femmes, c’est comme les fleurs, il faut les arroser. Mais avec le temps, l’amour flétrit et il faut replanter ailleurs.
Moi : Je comprends pas. Les fleurs, c’est les femmes ou l’amour ?
Mon père : C’est les deux. Je sais plus. Fais pas chier. J’ai pas encore pris mon café.