L’important souvent ne consiste pas à faire, mais à laisser faire. S’abandonner, s’en remettre aux forces supérieures de la vie, au souffle salvateur de l’Esprit : c’est peut être ainsi, par un libre acquiescement à l’amour d’en haut, que naissent les instants d’éternité.
Un instant d’éternité lui avais-je écrit une fois, c’est un instant de grâce, une faveur du ciel, une seconde qui s’éternise dans la beauté d’une communion, et le sentiment confus que pour connaître la vie, il faut l’aimer. C'est-à-dire la respecter, lui faire confiance.