Une fois, en 2006, il (Philippe Carrese) a fait pire que cela. Remontant la Canebière au sortir d'une séance de cinéma - son vice ultime -, il s'est trouvé une fois de trop confronté à la réalité du quotidien : trottoirs crasseux, papiers jetés et éparpillés par le vent, incivilité, injures, voirie défoncée, services publics inexistants. Tout cela saute parfois aux yeux, sur seulement quelques centaines de mètres sur la plus belle avenue du tiers-monde.