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François de Salignac de La Mothe Fénelon
Les hommes veulent tout avoir, et ils se rendent malheureux par le désir de superflu.
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François de Salignac de La Mothe Fénelon
Les hommes veulent tout avoir, et ils se rendent malheureux par le désir de superflu.
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François de Salignac de La Mothe Fénelon
L'ennui, qui dévore les autres hommes au milieu même des délices, est inconnu à ceux qui savent s'occuper par quelques lectures. Heureux ceux qui aiment lire. (" Les aventures de Télémaque") |
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François de Salignac de La Mothe Fénelon
Heureux ceux qui se divertissent avec des problèmes qui élèvent l'âme et enrichissent l'esprit. |
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François de Salignac de La Mothe Fénelon
Le peuple même (il faut tout dire), qui vous a tant aimé, qui a eu tant de confiance en vous, commence à perdre l'amitié, la confiance, et même le respect. Vos victoires et vos conquêtes ne le réjouissent plus ; il est plein d'aigreur et de désespoir. La sédition s'allume peu à peu de toutes parts. Ils croient que vous n'avez aucune pitié de leurs maux, que vous n'aimez que votre autorité et votre gloire. Si le roi, dit-on, avait un cœur de père pour son peuple, ne mettrait-il pas plutôt sa gloire à leur donner du pain, et à les faire respirer après tant de maux, qu'à garder quelques places de la frontière, qui causent la guerre ? Quelle réponse à cela, Sire ? Les émotions populaires, qui étaient inconnues depuis si longtemps, deviennent fréquentes. Paris même, si près de vous, n'en est pas exempt. Les magistrats sont contraints de tolérer l'insolence des mutins, et de faire couler sous main quelque monnaie pour les apaiser ; ainsi on paye ceux qu'il faudrait punir. Vous êtes réduit à la honteuse et déplorable extrémité, ou de laisser la sédition impunie et de l'accroître par cette impunité, ou de faire massacrer avec inhumanité des peuples que vous mettez au désespoir en leur arrachant, par vos impôts pour cette guerre, le pain qu'ils tâchent de gagner à la sueur de leurs visages. Extrait d'une lettre adressée à Louis XIV en 1694 + Lire la suite |
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François de Salignac de La Mothe Fénelon
La curiosité des enfants est un penchant de la nature qui va comme au-devant de l'instruction ; ne manquez pas d'en profiter.
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François de Salignac de La Mothe Fénelon
C’est simple amour de soi, d’être inconsolable à la vue de ses propres imperfections ; mais se tenir face à face avec elles ; sans les flatter ni les tolérer, cherchant à se corriger sans devenir irritable, -c’est là désirer ce qui est bon en soi, et pour l’amour de Dieu.
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François de Salignac de La Mothe Fénelon
Il y a deux sortes de maladies des hommes : les unes involontaires et innocentes, les maladies du corps ; les autres volontaires, la méchanceté et la violence, qui rendent le malade coupable.
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Les Aventures de Télémaque de François de Salignac de La Mothe Fénelon
Je ne crains plus ni mer, ni vents, ni tempêtes ; je ne crains plus que mes passions. L'amour est lui seul plus à craindre que tous les naufrages.
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Oeuvres, tome 1 de François de Salignac de La Mothe Fénelon
Pour moi, je veux savoir si les choses sont vraies avant que de les trouver belles. ( Dialogues sur l'éloquence, I )
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"1 Femme", quel est l'auteur de ce roman ?