La guerre, Lucrèce… C’est peut-être bien le pire fléau, qui réveille les instincts meurtriers des hommes, et pourtant… quand on me fait lire les lettres de nos pauvres gars partis au front, je vois en filigrane le fatalisme, la résignation, plutôt que le désir de tuer. Nos « poilus » n’en peuvent plus. Trop de misère, trop de souffrances, des conditions de vie – ou, plutôt, de survie – inacceptables. La paix… si tu savais à quel point j’y aspire…