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3.83/5 (sur 6 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Casablanca, Maroc , le 13/04/1959
Biographie :

Françoise Evenou est une écrivaine.

D’origine andalouse par sa mère, elle possède un master de droit international privé, obtenu à l'Université Panthéon-Assas.

Après avoir dirigé une activité de conseil en communication et travaillé au sein de grands groupes internationaux, elle a suivi des études de théologie et de philosophie pour nourrir sa quête de sens. Elle dirige ensuite une activité de conseil et de coaching pour accompagner les personnes à déployer leur force intérieure. Elle se consacre aujourd'hui à l'écriture.

A 38 ans, Françoise Evenou a connu une crise du milieu de la vie que la mort de son père a déclenchée. En pleine remise en cause existentielle, elle retrouve le chemin du Christ et de Sa miséricorde.

Elle est l’auteure d'un premier livre "La Rencontre" (2015) où elle témoigne de la quête spirituelle qui l’a conduite à la conversion, tournant majeur dans sa vie. En 2017, Françoise Evenou publie "L'appel des oliviers" aux éditions Salvator.

"Ose la petite robe rouge" (2020) est son nouveau roman écrit en collaboration avec Emmanuel Bourceret.

Mariée et mère de deux enfants, elle vit à Paris.

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Pour sa septième édition, le Festival du Regard vous plonge au coeur de la Nuit photographique. Véritable défi pour ce medium qui, par définition, se nourrit de lumière. Après les thèmes « Adolescences », « Habiter », « Voyages extra-ordinaires » et « lntime et Autofictions », voici « Bonjour la Nuit ! » qui vous emmène dans les univers nocturnes de vingt photographes. Parmi les plus connus, Anders Petersen. le festival a l'honneur de présenter des tirages inédits du célèbre Café Lehmitz. Fasciné par le quartier rouge de Hambourg, le photographe suédois va s'immerger dans le huis-clos d'un petit bar du port et tirer le portrait de ses habitués. Cette série produite en 1967 va propulser l'artiste sur la scène photographique internationale. C'est avec « House Hunting », que Todd Hido s'est fait connaître en 2001. Lui qui a su saisir l'ambiance inquiétante de la nuit américaine en photographiant de simples pavillons éclairés et silencieux… Une ambiance mystérieuse se dégage aussi des tableaux de Juliette Agnel. Dans ses grands formats se déploient, majestueuses, les plus belles cités antiques du Soudan sous un ciel constellé d'étoiles. Troublante beauté que celles des pierres laissées-là depuis la fin du règne du pharaon Taharqa (vers 600 ans avant notre ère). C'est également sous des voutes célestes scintillantes que Thierry Cohen a figé pour toujours les mégapoles de Tokyo, Shanghai ou Rio, sauf que les cieux que nous voyons ne sont pas réels, ce sont ceux que nous devrions voir mais devenus invisibles du fait de la pollution lumineuse. Les étoiles, les constellations sont parfaitement à leur place. Thierry Cohen photographie le ciel à l'exact latitude que la ville, dans un lieu dénué de tout éclairage. Les étoiles devaient être bien visibles ce soir de novembre 1965, lorsqu'une panne de courant générale plongea brutalement la ville de New York dans une quasi totale obscurité. le photographe de Magnum, René Burri, équipé de huit rouleaux de pellicule, a témoigné de cette expérience exceptionnelle dans une des plus grandes villes du monde où on avance comme dans un rêve halluciné… L'absence d'électricité, c'est le lot quotidien d'un milliard d'habitants sur terre. Rubén Salgado Escudero met en scène des habitants des quatre coins du globe, dont la vie a été améliorée grâce à des panneaux solaires portatifs. Quant au Cambodgien, Philong Sovan, il utilise le phare de sa motocyclette pour photographier la vie nocturne et bouillonnante de Phnom Penh.  Il arrive que la nuit devienne féérie lorsque les aurores boréales sont de la partie. Dans Hyperborea, la Russe Evgenia Arbugaeva nous fait découvrir l'extraordinaire magie des nuits polaires. Festive aussi, dans les photo-graphies de Ronan Guillou qui a relevé le défi de la Carte blanche lancée par la Communauté d'Agglomération de Cergy Pontoise en nous dévoilant les coulisses du spectacle flamboyant, Carmen Street, le chef d'oeuvre du compositeur Georges Bizet d'après la nouvelle de Prosper Mérimée. A l'approche de la fin d'année, la nuit se pare de ses plus beaux habits de lumière, comme le montrent les images de Laure Vasconi réalisées à Los Angeles. Là-bas, la tradition des décorations de Noël est une affaire sérieuse. Tout est dans la démesure, c'est à celui qui fera scintiller le plus d'ampoules ! Toujours sur le continent américain, Céline Croze nous emmène au Vénézuela. La photographe nous fait rencontrer les barons de la nuit de Caracas où elle séjourne pendant le tournage d'un film. Un univers de couleurs sourdes et de violence, qu'elle restitue avec force dans la série « Siempre que », présentée pour la première fois dans un festival. C'est également une première pour Françoise Evenou, et ses « Reinas del Bosque », portraits dignes et altiers des travailleuses du plaisir en périphérie de Paris. Enchaînement parfait avec la nuit sulfureuse vue par l'Américaine Merry Alpern qui, en 1993, va épingler les moeurs interlopes des traders de Wall Street dans un peep-show clandestin de New-York. Autre série culte qui interroge sur notre place de spectateur/voyeur : « The Park », du Japonais Kohei Yoshiyuki, décédé cette année, à qui le festival rend hommage. La nuit, au sens métaphorique, le Slovène Evgen Bavcar y est plongé depuis l'age de 11 ans. Aveugle, le photograp

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Citations et extraits (4) Ajouter une citation
« Et Alvaro vit dans ses yeux comme un air de défi : il serait toujours le préféré, le savant, le diplômé. Tout ce qu’il n’était pas. Tout ce qu’il ne possédait pas ».
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Je prends douloureusement conscience de la finitude de notre vie. La mort devient pour moi une réalité brutale. Une certitude, implacable. Je vivais jusque-là comme si je devais toujours vivre. Et soudainement, ces grandes questions de l’existence se sont dressées en rangs serrés devant moi. Pourquoi ce mystère de la mort plane-t-il sur nos vies ? Quel est donc le sens de la vie si c’est le néant qui nous attend ? C’est quoi, vivre ?
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Lequel des tes enfants est le préféré ? Celui des mes enfants que je préfère c'est le plus petit, jusqu'à ce qu'il grandisse; celui qui est loin, jusqu'à ce qu'il revienne; celui qui est malade, jusqu'à ce qu'il guérisse; celui qui est éprouvé, jusqu'à ce qui soit consolé.
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Françoise Evenou
Devant lui, un vaste paysage de collines couvertes d'oliviers s'étendait à perte de vue. Une mer d'oliviers. Ses oliviers.
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