En quelque sorte il dépersonnalise le peintre, il brise avec l'identité de sa personne, de son projet en cours, en nous introduisant dans la forme la plus active de sa pensée avec force, avec mobilité, en nous plaçant à l'intérieur de son entreprise qui est elle même sans fin, ou plutôt qui n'a pas pour objet la finitude des représentations de la nature auxquelles elle s'adonne