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Critiques de Françoise du Sorbier (212)
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P.S : I love you

J'étais un peu retissante à l'idée de commencer cette histoire car en général je n'aime pas beaucoup les romans d'amour où l'on est assommés par des scènes romantiques page après page.

Malgré le titre qui me faisait un peu peur, je me suis lancée et belle surprise ce livre n'est rien de cela, bien au contraire, j'ai découvert une très belle histoire digne d'intérêt.



On découvre Holly, une jeune femme trentenaire en plein deuil car elle vient de perdre son cher et tendre mari Gerry décédé d'une tumeur au cerveau.

Complètement déprimée, les jours passent inlassablement et le goût de vivre lui échappe.

C'est alors qu'elle découvre qu'avant de mourir, Gerry lui a préparé plusieurs lettres qu'elle devra ouvrir chaque mois. Grâce à ce soutien, elle entrevoit alors un petit espoir pour tenter de s'en sortir.



J'ai vraiment aimé ce roman.

Chaque personnage apporte quelque chose à l'histoire. Entre la multitude de personnalités de la famille d'Holly et ses amis, on a de quoi passer un agréable moment.

J'ai beaucoup aimé le style de l'auteure et sa manière de raconter car elle n'est pas simplement restée centrée sur la déprime d'Holly. L'histoire avance et évolue avec beaucoup d'anecdotes assez drôles, ce qui donne un équilibre à la narration.







C'est un livre sentimental certes, mais qui est très loin de la niaiserie habituelle que l'on peut rencontrer dans certains chick lit (pardon pour les amateurs du genre).

Une belle histoire et de bons souvenirs de lecture qui resteront.

A lire.
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P.S : I love you

Oh la la ! Dire que j'ai ce livre dans ma Pal depuis 2 ans et que j'ai failli passer à côté parce que je pensais que c'était un petit chick lit ! Et puis il y a quelque temps je vois passer la critique hyper émouvante de Phoenicia et là je me dis que j'ai fait fausse route avec ce roman.



Alors oui je l'annonce tout de suite, c'est un immense coup de cœur. J'ai découvert une histoire magnifique et bouleversante, un véritable hymne à la vie.



Holly formait un couple heureux avec Gerry. Mais la vie est parfois cruelle et sépare les amoureux. Des maux de tête répétés, une tumeur au cerveau diagnostiquée, Gerry 30 ans, décède, laissant Holly, dévastée.

Mais Gerry, parce qu'il aimait sincèrement et profondément Holly, pense avant tout, à son bonheur, à sa reconstruction. Parce qu'il va bien falloir qu'elle se relève, qu'elle vive sans lui, qu'elle aime à nouveau. Alors il prend le temps de lui laisser 10 lettres, une par mois. Pas de grandes lettres mais souvent un défi à relever, une chose à accomplir.

Je l'ai trouvé très réaliste et très juste dans les émotions, dans la façon de décrire le deuil, les réactions des uns et des autres. Une histoire très touchante, très bien écrite. Phoénicia dit avoir pleurer un chapitre sur deux, moi j'avoue et c'est la première fois que ça me fait ça, j'ai plutôt pleuré une page sur deux. Pourtant ce n'est pas écrit de manière à rendre l'héroïne pathétique et larmoyante. Holly est vraiment courageuse. Cette lecture a fait remonter des souvenirs.

29 octobre 2008, mon père décédait et aujourd'hui encore j'ai son numéro de portable dans mon mobile et ses cravates dans un tiroir. Le chemin est encore long.
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P.S : I love you

Il me reste 10 pages à lire...

Cela faisait un moment que je ne m'étais pas attachée à des personnages.

Ce livre est un condensé d'émotions, de tristesse (mais pas larmoyant), de petites et grandes joies, de sourires, de souvenirs, d'amitiés, de moments entre amis ou en famille. Un livre sur la vie qui suit son cours...

Il est écrit avec une justesse parfaite.

Ma 1ère expérience avec cette auteur ("merci pour les souvenirs") a été une catastrophe. J'avais très vite abandonné.

Du coup, j'appréhendais cette lecture. Et j'ai été plus qu'agréablement surprise.

C'est un beau roman, une belle histoire que je conseille fortement.
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P.S : I love you

J'ai entendu parler de l'histoire, j'ai vu le film, suis accessoirement tombée amoureuse de Gerard Butler, et me suis dit qu'il fallait absolument découvrir le roman à l'origine de l'histoire ! Manque de bol, j'ai été déçue... C'est rare, mais ça arrive parfois. Le livre est nettement moins attachant que ce que j'ai découvert à l'écran. Je dirais même qu'on est bien loin du charme du film...



Holly est une jeune femme effondrée depuis la mort de l'amour de sa vie : son époux Gerry. Elle refuse de sortir de chez elle ou de fréquenter des gens et se contente de passer ses journées sous la couette à pleurer sa disparition. En fait, le problème d'Holly, c'est que sa vie ne tournait qu'autour de Gerry, ce qui fait que depuis son décès, elle erre comme une âme en peine sans vraiment se sentir prête à reprendre son existence en main. Sortir, trouver un travail, faire de nouvelles connaissances sont tout simplement des choses impossibles à envisager pour Holly. Jusqu'à ce qu'elle reçoive dix lettres de Gerry rédigées peu avant sa mort et qui contiennent chacune des instructions précises pour reprendre goût à la vie. Alors, tout doucement, Holly va suivre ses conseils et remonter la pente... Tout commence avec une soirée mémorable au karaoké du coin et se poursuit avec la recherche d'un travail digne de ce nom. Sans oublier la fréquentation de ses meilleures amies qui lui permettent d'alléger son chagrin et avec qui elle tente d'oublier ses malheurs en participant à moults soirées bien arrosées...



Le problème de ce bouquin, c'est que ce n'est ni plus ni moins qu'une longue répétition des mêmes actes et des même pensées. Du début à la fin, on a droit aux sempiternels cas de conscience d'Holly et je dirais qu'après tout, jusque-là, c'est normal. Oui, il est normal qu'elle culpabilise et qu'elle se reproche de continuer à vivre, comme il est normal qu'elle envie ses amies qui, elles, poursuivent leur petit bonhomme de chemin. Le problème, c'est qu'Holly est en boucle dans ce livre. On revient sans arrêt sur les mêmes réflexions, les mêmes scènes, les mêmes gestes, jusqu'au moment gonflant où on prend conscience qu'au final, il ne se passe pas grand-chose et surtout rien de constructif malgré ses efforts. (En même temps, un an, c'est court pour reprendre goût à la vie après le décès d'un époux...) Je crois que le pire, c'est peut-être l'absence complète d'histoire, tout simplement. Alors oui, Holly va expérimenter certaines choses (dans des proportions parfois un peu ridicules mais qui constituent un grand pas pour elle), elle trouve du travail, rencontre des gens nouveaux et sort peu à peu de son chagrin, bref tout ça c'est très bien, mais finalement le récit n'est qu'une succession de scènes anodines où l'absence d'évènements intéressants nous livre une lecture barbante au possible. On se demande sans cesse où l'auteur veut en venir et mon dieu : ce que c'est agaçant !...



L'entourage d'Holly est un ramassis de filles superficielles qui passent leur temps à cancaner, à se disputer, à se réconcilier, à picoler, et qui m'ont toutes tapé sur le système ! Sans parler de sa famille pour qui je n'ai pas ressenti de réel attachement. C'est étrange, mais le seul qui a su me toucher un minimum, c'est justement son malheureux frère aîné Richard que chacun s'amuse à ridiculiser et à faire passer pour un être insensible et froid alors qu'il est dès le départ le plus émouvant de tous avec ses secrets.



Il manque une sérieuse dose de tendresse et de coeur dans ce bouquin. Rien n'est attachant, rien n'est transcendant, pas même ces fameuses lettres reçues de Gerry après sa mort. C'est ce qu'il y a de plus terrible dans un livre qui évoque le deuil et le chagrin et qui s'appuie sur cette correspondance touchante en voulant en faire la partie centrale du récit. Cecelia Ahern a certainement voulu nous sensibiliser à la perte et au chagrin d'une jeune femme pour qui l'idée de la mort était une réalité plus que lointaine, mais elle a juste réussi à m'ennuyer profondément sans faire passer la moindre émotion à travers son histoire. On comprend bien à quel point les choses sont difficiles pour Holly. Se lever péniblement le matin et faire quelque chose des heures à venir alors que l'envie vous manque, voir les autres s'épanouir autour de soi alors que votre vie est un véritable désert affectif, supporter les regards des autres, leur hypocrisie ou leurs jugements quand vous paraissez aller mieux, tout cela est assez bien rendu par l'auteur. Le problème se situe surtout au niveau de la psychologie de ses personnages qui sont extrêmement agaçants et surtout au niveau de l'histoire en elle-même - voire l'absence d'histoire !



C'est un jugement un peu sévère pour un livre dont j'attendais peut-être trop...



Je suis arrivée laborieusement à la fin, sans même avoir envie de connaître les ultimes changements dans la vie d'Holly ou savoir de quoi son avenir sera fait. Quand on se sent aussi éloigné du destin des personnages que ce que j'ai ressenti en lisant PS : I Love You, pour moi, ça signifie simplement que le pari est loupé...



Un coup pour rien. Dommage...
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P.S : I love you

Une histoire poignante qui me laisse toute bouleversée.

Ayant éclaté en sanglots en moyenne un chapitre sur deux, autant dire que cette lecture ne se lit pas d'une traite malgré le plaisir que l'on a de vouloir voir défiler les pages. Des pauses sont nécessaires et pourtant je suis scotchée et impressionnée.



L'histoire est magnifique, sans fausses notes, du début jusqu'à la fin. Un jeune couple très soudé. L'un décède. Jeune, beaucoup trop jeune. Et si il est difficile de partir en laissant son âme soeur, il est très difficile de continuer à vivre sans son âme soeur également. Gerry laisse donc dix lettres à Holly. Une par mois. Pour l'aider à survivre puis tout bonnement à vivre...

Ces lettres ne sont pas longues et pourtant en quelques mots chargés d'émotions qui vous retournent comme une crêpe. Il faut dire que je me suis pas mal identifiée à Holly, ses réactions m'ont paru authentiques. Quel talent que possède cette auteure, pouvoir nous faire ressentir aussi pleinement la détresse de la jeune femme.



Bref c'est beau. C'est même drôle par moment. Mes passages préférés sont également les plus purs, ceux où l'on voit Gerry. Deux petits chapitres sur 41. Et pourtant...



Une vraie claque, bien mieux que le film qui est déjà très bon. J'en ai encore les larmes aux yeux à y repenser...



Challenge Trivial Reading VI
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P.S : I love you

Lu dans le cadre de "pioche dans ma PAL" de 09/2018, j'ai eu beaucoup de mal à terminer ce livre. Je ne comprend même pas comment ils ont pu l'adapter au cinéma !

L'idée de la liste est bonne mais déjà vu. Sur ce thème je lui préfère largement : "Tu as promis que tu vivrais pour moi" de Carene Ponte.

Là la liste est importante pour Holly parce qu'elle vient de l'homme qu'elle a aimé mais le contenu est assez insipide pour le lecteur je trouve. Il me manquait quelque chose, je n'ai ni ri, ni pleuré, les mouchoirs sont restés dans leur boîte. Au suivant.
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P.S : I love you

Holly Kennedy, une jeune dublinoise, est effondrée après le décès de son mari Gerry d'une tumeur au cerveau.

Mais elle découvre que celui-ci lui a laissé une série de lettres à ouvrir chaque mois, qui vont l'aider à se reconstruire et à reprendre le cours de sa vie.



Sur la base de cette idée de départ plutôt prometteuse, Cecelia Ahern nous offre un roman qui fait passer un bon moment (malgré la tristesse du sujet), mais qui selon moi n'exploite pas totalement les possibilités offertes par l'histoire. Certains sentiments, à peine effleurés, auraient mérité d'être mieux décrit. Mais c'est sans doute un parti pris de traiter le sujet avec légèreté. Quant aux personnages, tantôt attachants, tantôt agaçants, là aussi il y aurait sans doute eu matière à développement pour leur donner plus de substance.



Je sors donc de cette lecture assez mitigée, et avec l'envie de voir l'adaptation cinématographique pour compléter.
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P.S : I love you

Un avis en demi-teinte pour ce roman que je voulais lire depuis très longtemps...



Holly Kennedy vient de perdre son mari Gerry, décédé des suites d'une tumeur au cerveau. Holly sombre dans la dépression et se laisser aller. Jusqu'au jour où elle découvre que Gerry lui a laissé une série de lettres, à ouvrir progressivement à raison d'une par mois pendant dix mois. Des lettres comprenant des instructions destinées à l'aider à reprendre sa vie en main...



J'ai été touchée par le sujet mais surprise de la légèreté qui émane du roman. Certes, Holly souffre de l'absence de son mari et se sent complètement déboussolée, mais je trouve que ses sentiments sont évoqués de manière superficielle. On reste en surface des choses. On est loin par exemple de l'émotion teintée de distance et d'ironie que l'on trouve dans Nos étoiles contraires.



Je ne me suis pas vraiment retrouvée non plus dans ces personnages de trentenaires un peu caricaturaux, qui ne pensent qu'à faire du shopping et aller en boîte, qui n'ont pas vraiment d'intériorité (en particulier les copines d'Holly) en dépit de leur gentillesse. Quant aux lettres de Gerry, qui sont en réalité plutôt des messages, elles m'ont surprise là aussi par leur légèreté, leur contenu un peu naïf voire prosaïque. Mais je n'en dis pas plus pour ceux qui voudraient lire le livre et se faire leur opinion par eux-mêmes...



Et pourtant, la fin m'a agréablement surprise, moi qui m'apprêtais à dire méchamment que l'intrigue était cousue de fil blanc. Mais dans l'ensemble, c'est plutôt une déception. L'idée de départ était originale et émouvante, le roman aurait pu être magique mais je n'ai pas été conquise.



Bref, une lecture qui ne me marquera probablement pas à long terme mais qui s'avère idéale en cette période de vacances...



J'ai regardé dans la foulée le film sorti en 2008. Je l'ai trouvé pétillant mais non dénué d'émotion malgré tout, des émotions qui sonnent plus juste que dans le roman. La relation qui unit Holly à Gerry est plus complexe et plus riche. Les autres personnages sont moins lisses (la mère d'Holly par exemple). On peut juste regretter l'absence du frère aîné, Richard. Le charme du film tient aussi beaucoup au charisme des acteurs, notamment Gerard Butler et Kathy Bates !
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P.S : I love you

Pour une fois, j'ai préféré le film que le livre !

Je pensais que le livre serait plus sympa que ça à lire donc j'ai été un peu déçu. Le concept était pourtant bon...
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Le lac aux secrets

J'ai davantage apprécié ce roman que lors de ma première lecture il y a seize ans.



Le démarrage est un peu lent, le temps de présenter tous les personnages et de planter le décor ; et c'est vrai que le récit est de facture très classique (ce qui m'avait paru "vieillot" la première fois).



Cependant ce rythme un peu lent permet de bien connaître les personnages et de s'immerger dans l'atmosphère de cette demeure dans la campagne anglaise où s'est réunie toute la famille pour fêter l'anniversaire de la grand-mère. Entre petits accrocs et grands drames, désillusions amoureuses et coups de foudre, souvenirs enfouis et épreuves impossibles à oublier, le récit est loin d'être si paisible qu'il n'en a l'air a priori.



En bref, j'ai passé un bon moment avec ce roman et ses personnages plus attachants les uns que les autres.
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P.S : I love you

C'est la deuxième fois que je me fais avoir! Les couvertures des romans de Cecelia Ahern sont en général un moyen pour moi de valider un objet du challenge 50 objets et j'entame la lecture en me disant que ce serait un peu fleur bleue, voire gnangnan!

Rebelote avec PS : I love you! J'ai découvert Holly et son chagrin immense après l décès de son mari Gerry, mort à seulement trente ans d'une tumeur au cerveau. Je l'ai suivie mois après mois ouvrant les enveloppes laissées par son mari pour l'aider à se reconstruire et à surmonter sa perte.

J'ai pleuré, j'ai ri, j'ai adoré!

C'est fini, je n'ouvrirai plus un roman de cette autrice avec des idées préconçues!
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P.S : I love you

Première fois que je lis ce livre. Je ne connaissais que le film (film préféré d'une de mes meilleures amies) que j'avais bien aimé. Petite appréhension, du coup, en commençant ma lecture, comme je m'attendais à être soit déçue du livre, soit déçue du film.



Eh bien, pas du tout. Le livre et le film sont tellement différents que finalement, on peut difficilement les comparer.



Le roman, contrairement au film, paraît beaucoup plus réaliste dans le côté humain ; beaucoup plus psychologue en fait. En effet, le livre commence alors que Holly revient de l'enterrement de Gerry. Elle est déjà seule et s'apprête à affronter les aléas de la vie sans son âme sœur, qui a succombé à une tumeur au cerveau. L'écriture est fluide, rythmée, sans heurts. Les dialogues sont prenants. Durant la lecture, on oscille vraiment entre les larmes (surtout quand on tombe sur une des lettres de Gerry, pour ma part) et le rire. Holly ne se laisse pas démonter et trouve toujours quelque chose à dire ou à faire qui détend l'ambiance, le contexte de ce roman.



Je me suis souvent mise à la place de l'héroïne. Le livre permet donc de s'identifier aux personnages.



Ce que je voulais dire par psychologue, c'est que l'auteur trouve vraiment les aspects les plus réalistes et humains de ses personnages. Elle ne se perd pas dans le romanesque ni dans le Hollywoodien, comme le fait le film. On peut prendre l'entretien d'embauche, par exemple, qui est tout à fait ressemblant à ce qu'il se passerait dans la réalité. Holly ne devient pas célèbre coordonniere et ne passe pas son temps à ne penser qu'aux chaussures et qu'aux vêtements. L'héroïne est plus accessible et plus attachante dans le livre. Oui, elle est égocentrique, oui elle fait des erreurs, mais elle ne tombe pas dans les clichés américains d'héroïne bidon.



Écriture, check ; histoire, check ! L'histoire se tient. Elle devient réelle dans la tête et on attend même avec impatience les lettres de Gerry, les prochains objectifs de la Liste.



Chapeau à cette auteur pour avoir écrit un roman aussi prenant et serrant à la fois. Mon cœur n'arrive pas à s'en remettre !
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P.S : I love you

Débutant le roman sceptique, c'est pour tuer le temps que je l'ai lu. Et pour finir, c'est bien mon scepticisme que j'ai tué. Une niaiserie romantique, on en est très loin, vraiment à 100 000 lieues. Bien qu'étant un drame, ce roman est digne d'une belle romance, celle de la fin d'un bel amour, qui s'éternise pour mon plus grand bonheur. Ce n'est pas une romance "amour impossible", ce n'est pas une romance "suis-moi je te fuis, fuis-moi je te suis", c'est une romance qui persiste malgré le plus grand obstacle: la mort, une mort imprévisible, et à laquelle je ne croyais pas. Émouvant, prêtant à sourire, faisant rêver, ce roman a tout pour charmer, et est, à mon goût, l'un des meilleurs livres que j'ai pu lire. On envierait presque les personnages, malgré le drame qui s'y passe. Je ne me suis pas dit, comme pour les livres fantasy "J'aurais aimé avoir cette vie", mais plutôt en bon drame que c'est, "j'aimerais avoir cette mort, pouvoir donner le sourire à la femme de sa vie, malgré son trépas".



Une émotion larmoyante et une tristesse étouffante s'emparent rapidement du lecteur, complètement bouleversé par cette sublime histoire ne laissant personne insensible. L’histoire se démarque des autres classiques du genre, dans la mesure où l'amour et la mort se confondent sans ambiguïté. Tout le mérite en revient à Cecelia Ahern qui se base sur le concept des lettres, concept s'avérant être une excellente idée : le fait qu'Holly reçoive, après la mort de son mari, des lettres qui lui disent quoi faire et où aller ; tout ça pour l'aider à surmonter sa peine, j'ai trouvé ça très beau et très prenant.



Dès le début du livre, on ressent vraiment ce lien qui unit ce couple et on comprend vite pourquoi c'est difficile pour Holly de se remettre de la mort de son mari, c'était sa moitié et elle a du mal à avancer sans, à retrouver un sens à sa vie sans lui. Il est vrai que ça peut paraître bizarre ou glauque de se dire que son défunt mari lui a réservé une sorte de jeu de piste, mais on comprend par l'amour qui les unit pourquoi il a fait ça. C'est vraiment ce qui rend ce roman magnifique, cette histoire d'amour unique et intemporelle !



Plusieurs thèmes sont soulevés tout au long de cette histoire : l'amour, l'amitié, la famille ou encore le deuil. Dans ce sens, on dénombre beaucoup de passages qui nous émeuvent considérablement, d'autres passages qui nous font rire et quelques-unes qui nous interpellent. On ressort de cette lecture touché et ému.

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P.S : I love you

Être veuve à 29 ans...cela ne devrait pas exister et pourtant, c'est sur cette note dramatique que commence cet ouvrage. Tout au long de ce roman, Holly essaie tant bien que mal e réapprendre à vivre suite à la disparition tragique de son mari, mort d'une tumeur au cerveau. Entourée de sa famille et de ses deux meilleurs amies, Denise et Sharon, elle essaie tant bien que mal de ne plus uniquement survivre mais de vivre tout simplement ! C'était également sans compter que son mari, avant de mourir, lui a adressé un étrange paquet. Ce dernier contient en effet 9 enveloppes, une par mois avec les tâches qu'elle devra accomplir pour pouvoir continuer à vivre sans lui. Y parviendra-t-elle ? Je vous laisse le découvrir pas vous-même...

Roman fluide et très bien écrit et entraînant me s'il est parfois déprimant puisque l'absence le Gerry, le mari décédé, se fait atrocement sentir. A lire !
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P.S : I love you

drôle, triste , simplement géniale... à lire absolument
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Rien ne va plus chez les Spellman !

Rien de nouveau dans ce tome. On reprend la trame, les éléments et tout à fait le style des quatre premiers tomes. Quand j'avais relu les trois tomes précédents pour lire le quatrième, j'avais trouvé ça redondant, mais lu à l'écart la lecture est vraiment très sympathique et diablement efficace.

C'est facile à lire, avec rapidité, sans lourdeur. Avec une ambiance légère, distrayante et drôle. Ce n'est pas pour autant qu'il n'y a pas un peu de profondeur. Notamment dans les sentiments, la psychologie et les relations entre les personnages dont dans la famille. Sans en faire trop et prendre la tête.

Un beau panel de choses différentes avec aussi beaucoup de mystères, souvent pas très spectaculaires mais bien distillés pour nous tenir en haleine tout du long. C'est toujours bien amené avec une plume rafraichissante.

Les personnages sont variés, atypiques et drôles. Avec des réactions parfois loufoques, parfois touchantes, parfois agaçantes. La famille Spellman & Co sont attachants et on aimerait en connaitre un peu plus pour savoir ce qu'ils deviennent.

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P.S : I love you

PS : I love you est une « comédie romantique » que j’ai déjà eu l’occasion de regarder plusieurs fois et que j’apprécie car je la trouve assez touchante. Julie m’avait prévenue, le livre d’origine est très différent… il est bien meilleur !

N’étant pas une très grande lectrice de « romance contemporaine », je me suis plongée dans ce grand succès de Cecelia Ahern sans réel enthousiasme mais tout de même avec curiosité. Mais quelle erreur faisais-je là ! L’illustration de couverture et l’adaptation donnent une fausse idée de cette belle histoire, à mon avis car il n’est pas question de romance ici, mais de deuil, d’amitié et de soutien familial. PS : I love you s’est ainsi révélé beaucoup plus impactant et touchant que je le pensais ; j’ai eu les larmes aux yeux à plus d’une reprise et c’est finalement une lecture qui m’a fait du bien, dans une période de ma vie où j’avais besoin d’émotions positives. Bref, pourquoi n’ai-je pas franchi le pas avant ?!



PS : I love you, c’est l’histoire d’Holly. Holly qui fêtera bientôt ses 30 ans mais qui doit déjà affronter une douloureuse épreuve : la perte de Gerry, son mari adoré, suite à une tumeur au cerveau. Perdue, apathique, la jeune femme peine à remonter la pente… mais c’était sans compter sur l’espièglerie et l’ingéniosité de son défunt époux qui, avant de mourir, lui a écrit 10 lettres qu’elle doit ouvrir avec parcimonie : 1 seule par mois ! 10 lettres pour 10 choses à faire, à la manière d’une liste de conseils post-mortem…

Ces ordres de l’au-delà sont tantôt une bénédiction, tantôt un cauchemar pour Holly (le karaoké par exemple) mais dans tous les cas, ils la font avancer. Ce n’est pas sans douleur, ce n’est pas sans période de profond désespoir et de mélancolie, mais la jeune femme reprend le dessus et se surpasse. Elle parvient même à s’étonner elle-même.



PS : I love you c’est ça, c’est l’histoire de cette reconstruction après le deuil. C’est le zoom sur la vie de Holly après la perte de son seul et unique pilier. Ce sont 10 mois relatés en quelques centaines pages mais également de nombreux souvenirs heureux auprès de Gerry.

C’est la première fois que je lis un roman de Cecelia Ahern et ce ne sera sans doute pas la dernière. J’ai trouvé qu’elle écrivait avec énormément de justesse et d’authenticité des sentiments et des émotions qui demandent beaucoup de délicatesse. Je n’ai lu que la traduction française que j’ai déjà trouvée très bonne (alors j’imagine que le texte d’origine est encore meilleur !) car elle a su me happer et me percuter.

Je sanglote très très très rarement dans mes lectures car je suis rarement touchée au point d’en arriver là… avec PS : I love you, je me suis surprise à avoir les larmes aux yeux et à sourire en même temps, à ressentir les émotions de Holly en même temps qu’elle, à vivre à la fois ses chagrins, ses difficultés mais aussi ses joies nouvelles. Cette héroïne est hyper touchante et on ne peut que ressentir énormément d’empathie pour elle, comprendre ses réactions et absorber un peu d’elle au détour des pages.

Je retiens surtout ce moment où, quelques mois après la disparition de Gerry, Holly doit faire face aux bonheurs de ses deux meilleures amies, qui vivent sans doute les plus beaux instants de leur vie. Elle les aime alors elle aimerait partager leur joie mais elle ne peut s’empêcher de ressentir une pointe de jalousie, d’envie et surtout d’injustice. Comment continuer à sourire et à faire semblant alors que pour elle, en elle, rien n’est plus comme avant ?



Outre l’évolution de la jeune femme, on suit également – de plus ou moins loin – le quotidien de son entourage, notamment de ses nombreux frères et soeurs. Eux aussi connaissent les difficultés, les amours déçues, la perte d’un emploi, la trahison… eux aussi ont leurs instants de doute, de peur, de chagrin mais aussi de joie intense.

C’est un peu ce que je retiens dans ce roman. Malgré son thème dramatique et un poil déprimant, il se dégage beaucoup de joie et surtout d’espoir de ces quelques centaines de pages. Parce qu’Holly est constamment entourée de gens qu’elle aime et qui l’aiment en retour : sa famille, ses ami(e)s, ses nouveaux collègues… et chaque jour, malgré les difficultés du quotidien, peut offrir ses instants d’insouciance et de bonheur et parfois ils ne se cachent pas où on l’imaginait. Entre les larmes, les sourires et les rires font leur chemin. C’est clairement une lecture qui m’a fait du bien.



Quant à la comparaison inévitable avec l’adaptation… des différences il y en a, je confirme ! A vrai dire, à part la trame principale, le réalisateur américain n’a pas conservé grand chose du roman original.

Pour commencer, toute l’intrigue se déroule en Irlande, à Dublin plus précisément. Cecelia Ahern est irlandaise, il est donc logique qu’elle est créée une histoire qui prend place dans son pays. Les deux amoureux se connaissent depuis très longtemps, ils étaient au lycée ensemble, c’est donc tout naturellement qu’ils se sont mariés une fois leur diplôme en poche. L’adaptation débute quant à elle à New York, car Holly est une américaine pure souche. C’est lors d’un voyage en Irlande, lorsqu’elle était étudiante en art, que la jeune femme a fait la rencontre de Gerry au milieu d’un parc naturel… je pense qu’il était plus simple pour les américains de s’identifier à des héros vivant à New York et comme la plupart d’entre eux ont des origines irlandaises (l’immigration au moment de la Grande Famine, tout ça…) c’est toujours bien vu, « exotique » et romantique de faire un tour en Irlande (où Gerard Butler erre dans la lande, bien sûr…). Le voyage estival à Galway dans le film est à l’origine un séjour bien plus au Sud et donc au soleil (en Espagne si mes souvenirs sont bons) et ce qui est devenue une escapade en barque sur un lac irlandais est en fait du farniente sur des tapis gonflables au milieu de la mer…

La personnalité de la jeune femme et de ses deux meilleures amies est plutôt bien respectée dans l’ensemble mais là où le livre s’attarde assez longuement sur la grande famille d’Holly, l’adaptation a supprimé pas mal de ses frères et soeurs (si ce n’est tous !). Notre héroïne a des problèmes professionnels dans les deux supports mais encore une fois, le film a choisi une voie beaucoup plus « tape à l’œil » (et irréaliste) que celle qu’avait choisie Cecelia Ahern dans son roman.

Quant à la fin… rien à voir ! L’adaptation se la joue romantique à souhait alors que le texte d’origine opte pour beaucoup plus de réserve, de pudeur et de sensibilité… plus d’authenticité et de crédibilité finalement. Mais ça fait moins rêver le spectateur je pense. Si j’avais lu le livre avant de voir l’adaptation, je n’aurais sans doute pas du tout aimé le choix du réalisateur pour le dénouement… ayant fait l’inverse, j’ai tout de même une tendresse particulière pour cette fin Hollywoodienne mais j’ai également énormément apprécié l’originale !



Si vous avez aimé l’adaptation, ne passez pas à côté du roman d’origine proposé par Cecelia Ahern. Plus authentique, plus réaliste, plus émouvant, c’est un livre percutant qui fait passer par de nombreuses émotions. Prévoyez les larmes… et les éclats de rire !
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P.S : I love you

Ce livre m'a été offert par ma correspondante et partenaire Myly pour notre premier échange. Elle en avait fait une lecture commune et avais pris la peine de commenter chaque chapitre en agrémentant d'anecdotes personnelles pour que j'en apprenne davantage sur elle.

J'ai donc lu ce livre avec plaisir. J'en avais entrepris la lecture en même temps qu'une autre livre et j'avoue que les lectures de plusieurs livres en simultané ne me réussit vraiment pas. Du coup, je me suis dit qu'il était grand temps de le lire.



L'histoire était touchante. Holly perd son mari en février. Ils étaient très proches, très complices, de véritables âmes soeurs, l'un n'allant pas sans l'autre. Holly est effondrée et doit se relever et c'est sans compter sur Gerry, son regretté mari, qui avait prévu l'après. Gerry durant son court séjour à l'hôpital a rédigé 10 enveloppes représentant 10 mois. Chaque mois représentant une chose à faire par Holly pour se remettre de son veuvage. On suit Holly dans ses malheurs, sa dépression, sa remise sur pied et sa reconstruction.



Je me suis reconnue en Holly en bien des points: en la peur de perdre ma moitié, la peur de ne pas pouvoir m'en relever, sa manière de ressasser les évènements passés, sa façon de couper les cheveux en quatre. Je l'ai accompagnée dans sa peine, dans son processus de deuil, je l'ai comprise et j'ai pleuré avec elle, mais également dans ses interrogations. Petit à petit elle remonte la pente, elle apprend à revivre, elle surmonte ses obstacles et ses peurs, elle réapprend à se relaxer en compagnie de ses amies, elle retrouve du travail et réapprend à apprivoiser ses sentiments.



J'ai aimé ce livre dramatique et cette superbe histoire d'amour. Les personnages étaient originaux chacun à leur manière mais surtout attachants. Même les plus revêches en apparences cachent une détresse profonde et finalement on craque et on s'y attache. Cecelia Ahern a écrit l'histoire d'une main fluide, comme si elle-même avait vécu toute la peine qu'éprouve Holly, comme si elle-même était passée par cette épreuve. Ce livre m'a ému, d'une manière différente du film. Ce film était malgré tout plus intense comme le faisait remarque Myly. Mais le livre était plus terre à terre et moins fantaisiste que le film et ce surtout au niveau des enveloppes, dans le film c'est toujours quelqu'un qui lui apporte le tout, dans le livre elle est en possession de toutes les enveloppes. Jusqu'à la fin j'ai espéré, espéré qu'elle arrive à dire oui et finalement c'est un tout autre rebondissement auquel on s'attend. Si vous ouvrez ce livre attendez vous à verser quelques larmes et à vous attacher aux personnages du livres. Ce livre m'a ému et je ne peux que le conseiller.
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P.S : I love you

Cette lecture m'aura fait pleurer de tout mon saoul. C'est que je suis très émotive quand je lis ou quand je regarde un film. Une espèce de grande capacité à m'immerger complétement dans l'histoire et à vivre avec les personnages.



PS : I love you, c'est l'histoire du deuil de Holly suite au décès de son époux Gerry. Du vivant de Gerry, le couple est des amis ont commencé une liste, sous forme de blague de chose qu'Holly ne devrait pas oublier si Gerry n'était pas là. Lorsque Gerry apprend qu'il est atteint d'une tumeur cérébrale, il décide, en secret, d'honorer cette promesse de LISTE. Il écrit une série de lettre à son épouse, une liste de tâche qu'elle devra accomplir sur 10 mois.



Holly se prend au jeu, moyen pour elle de conserver son époux auprès d'elle, tant qu'il y a des lettres, il est toujours là, prêt d'elle pour l'accompagner dans la vie. Car là est toute l'histoire: l'histoire du deuil, de la rémission, du grand amour et surtout du refus de perdre celui qu'on aime. On suit Holly dans les étapes de son deuil, émergeant peu à peu du marasmes pour ré-apprendre à vivre, seule.



Entre comédie et drame, on suit ce personnage, sa famille et ses amis, riant aux péripéties surréalistes de cette bande soudée et pleurant aux souvenirs des disparus. J'ai vraiment aimé cette lecture, douce et sensible où l'on rie et pleure en suivant la même courbe émotionnelle que celle d'Holly. Car ce n'est jamais un chemin en ligne droite que l'on empreinte pour se sortir de la déprime, il y a des hauts, des bas, tout ça quoi.



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P.S : I love you

PS I love you c’est une très jolie histoire pleine de romantisme, de fraîcheur et qui quelque part change un peu de celle que l’on peut trouver dans ces petits romans pour fille. Parce qu’il faut quand même se le dire, la cible est largement féminine et plutôt jeune.





Personnellement, j’ai vraiment trouvé l’histoire très belle et j’insiste là dessus, ça doit être mon côté fleur bleue qui parle.. Lorsque j’ai attaqué ce bouquin, j’ai été un peu surprise (oui, encore une fois je n’avais pas lu la 4ème de couverture), les premières pages sont tristes alors que je m’attendais au contenu typiquement girly que l’on trouve habituellement dans ses romans.





Holly, 30 ans vient de perdre Gerry, son mari et âme soeur d’une tumeur au cerveau. Elle est au fond du sachet, ne crois plus en l’avenir et a du mal à se raccrocher à la vie. Bien qu’elle soit très entouré par sa famille et ses copines, Denise & Sharon, Gerry a laissé un vide difficile à combler. Quelque temps après l’enterrement, Holly reçoit un courrier de Gerry : La liste. Dans ce courrier se trouvent 10 enveloppes qu’elle doit ouvrir en temps et en heure. Chacune renferme “une mission”. Un dernier et très beau cadeau de Gerry qui va lui permettre de se reconstruire et de réapprendre petit à petit à aimer la vie.





L’histoire est originale, on est vite embarqué dans la vie d’Holly, on passe très vite du rire aux larmes. C’est touchant, émouvant, il y a des moments qui sont drôles. Ce livre n’est pas un livre triste (bon, j’ai eu quelques fois les larmes aux yeux mais ce n’est vraiment pas le but recherché par l’auteur). Au contraire, il renferme un message d’espoir et d’optimisme pour tout ceux qui traversent ou ont traversé ce genre d’épreuve.





Globalement les personnages sont plutôt sympathiques, un peu caricaturaux des fois certes mais attachants. Seul hic que je noterai au tableau : certaines scènes sont un peu nian nian et l’écriture est parfois vraiment trop simpliste. J’ai trouvé que ça venait un peu tâcher la beauté de l’histoire et j’avoue ça m’a agacé. Toutefois ce livre se lit très facilement et vaut vraiment la peine du fait de son histoire qui est très très jolie et qui sort un petit peu de l’ordinaire. Franchement je vous invite à vous laisser prendre au jeu !
Lien : http://www.nola-tagada.fr/ca..
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