Le son lui-même semblait l'envelopper d'une sorte de grande cape protectrice, l'enclore dans une bulle d'énergie invisible. (...)
Le sentiment de solitude le submergeait, provoquant moins la peur que du malaise. Il allait au piano, faisait du bruit, se glissait dans la bulle protectrice, s'oubliait. (p. 31)