Critiques de Frank G. Slaughter (58)
Quand on pense aux livres de l'Américain Frank G. Slaughter, on visualise aussitôt un pro du bistouri qui fait des merveilles. Mais ses romans ne se limitent pas seulement aux dons d'organe miraculeux et aux histoires d'amour dans les blocs opératoires. Il a écrit aussi bon nombre de romans d'aventure inscrits dans des époques où sur les mappemondes figuraient encore des sirènes et des monstres marins.
Les caravelles de l'aventure regroupent cinq romans qui se déroulent au temps des explorations maritimes et des premiers colons. Parus entre 1955 et 1960, ils ont pour cadre la Méditerranée d'Henri le navigateur qui n'avait ja- ja- jamais navigué (De galère en palais), la Floride et l'expédition de Cabeza de Vaca (L'or des conquistadores), la Caraïbe de Francis Drake (Chirurgien et corsaire), les premières colonisations en Virginie (Pour l'amour de la reine) et aux Bahamas (Les pèlerins du Nouveau Monde). Le point commun de tous ces romans? Un héros jeune et fougueux qui force son destin en se frottant avec panache à l'histoire, et qui fait son apprentissage amoureux auprès de la traitresse au visage d'ange puis de la jeune fille au coeur d'or. De l'aventure, des pirates, des personnages historiques et des bons sentiments, la recette est infaillible, et le résultat très plaisant, digne des productions hollywoodiennes en Technicolor pour voyager autour de sa chambre.
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Lu dans le cadre d'une ( vaine?) tentative de dépoussiérer ma PAL.
Le cadre de ce roman se situe dans les années 1950 aux États-Unis, avec comme personnage central Randolph Warren, brillant chirurgien.
On suit avec intérêt son évolution dans le milieu médical , avec des épidémies de maladies dont on n'entend guère plus parler dans les pays occidentaux telles que la diphtérie par exemple.
Ce médecin, intègre, aura fort à faire pour lutter contre les tentatives de corruption auxquelles il va être confronté. Il en subira d'ailleurs des conséquences non négligeables dans son parcours professionnel..
Quelques parties traitants de politique un peu indigestes à mon gout, mais un bon moment de lecture.
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J'avais ce livre depuis des siècles dans ma PAL, et le challenge ABC a été une bonne occasion de le deterrer et surtout de le lire.
Le titre original de ce livre " The Seminole" est beaucoup plus évocateur que " Bon sang ne peut mentir ". Effectivement, l'histoire se déroule en Floride pendant les guerres seminoles.
Des seminoles, je ne connaissait que le nom. Grâce à la lecture de ce livre, j'ai pu découvrir ce peuple indien qui a été comme tant d'autres floué de ses terres par " l'homme blanc".
Le narrateur, Charles Paige, régisseur d'un domaine en Floride va etre pris à parti quand les événements s’accélèrent et que la guerre éclate. Il est en effet ami avec certains chefs seminoles et va etre employé comme intermédiaire.
L'histoire est sympathique à lire, même si l'issue de ce combat inégal ne fait aucun doute.
Challenge ABC 2015/2016
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Quand j'ai lu ce livre (déjà ancien), alors que j'étais jeune adolescent, je l'avais beaucoup aimé. Adulte, je l'ai relu avec une certaine circonspection car Slaughter a, je crois, la réputation d'écrire des romans "à l'eau de rose": à ma propre surprise, je n'ai pas du tout été désappointé.
Le héros n'est autre que Luc (l'évangéliste) dont on suit l'évolution au fil des années, au premier siècle. C'est un personnage cultivé, honnête, sensible, fidèle, courageux, qui a de l'épaisseur - mais il n'a rien d'un surhomme. Luc a de nombreux amis, auxquels le lecteur s'attache aussi. Parmi eux, l'apothicaire Probus et surtout Paul, le grand apôtre. Les faiblesses personnelles de ce dernier contrastent avec son intransigeance. Luc supporte mal ces tendances quasi-fanatiques de Paul; mais il le suit malgré tout dans ses dangereuses pérégrinations, qui sont racontées par le menu. Les premiers apôtres ont, en réalité, beaucoup plus à craindre des Juifs orthodoxes que des Romains. Luc s'attache à une jeune femme, Thècle; malgré l'opposition de Paul, il finit par l'épouser. Il effectue des recherches approfondies sur Jésus et il transcrit sur le parchemin tous les témoignages qu'il a entendus à son sujet. Dans l'émouvante scène finale, il lit son texte (qui n'est autre que le troisième Evangile) à Thècle qui est mourante: tous deux se donnent rendez-vous en Bithynie, c'est-à-dire au paradis.
Ce livre ne plaira certainement pas aux anticléricaux militants. Mais il paraitra intéressant à tous les autres lecteurs. D'abord, la description du monde antique me semble bien rendue et très plausible. En fait, quoique le roman soit une apologie des premiers Chrétiens, les païens n'ont généralement pas le mauvais rôle. Quant au petit monde des sectateurs de Jésus, il est présenté sous un jour favorable, mais sans complaisance. Comme je l'ai écrit, les personnages principaux ont du relief et apparaissent très crédibles. Enfin, le lecteur sera probablement sensible à l'émotion qui transparait dans les épisodes marquants du roman; une immense douceur fait contraste avec la violence des uns ou des autres.
Je recommande donc ce livre sans restrictions.
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Le docteur Pau Scott, aprés vingt-deux mois de service cours de la seconde guerre mondiale.Libre de toutes obligations militaire et accepte avec joie le poste de chiurgien à la luxeuse clinique du docteur Holt,à Pasadena .
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L'émouvante épopée d'un médecin qui exerce son métier comme un véritable sacerdoce.
L'oeuvre la plus célèbre de Frank G. Slaughter.
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shawn macnus ,jeune
irlandais de belle prestance, mais complètement désargenté,
quitte sa ville de cork pour
tenté sa chance à Londres.
Élisabeth 1 Tudor règne sur la cour et les poètes,
sont bien vu a la cour.
mais avant d'être admis,
notre héro va vivre bien
des aventures, ou se mêlent l, amour, et le danger, la bravoure et la ruse, la cupidité et l, espoir.
slaughter nous fait revivre
une époque ardente. dans la lignée du capitaine fracasse où
des trois mousquetaires.le
roman de cape et d, Epée n'est
pas mort.👍
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Franck G. Slaughter est un médecin et romancier américain né en 1908 et mort en 2001, auteur d'une soixantaine de romans historiques et de romans sentimentaux, pour lesquels il s'inspire souvent de son expérience de médecin. Aujourd'hui oublié, cet auteur prolifique connut son heure de gloire dans les années 50 surtout parmi un public féminin toujours avide de belles histoires d'amour (pourquoi pas, après tout??)
Dans ma jeunesse, j'ai lu quelques-uns de ses romans, notamment "Noirs sont les cheveux de ma bien-aimée" que j'ai lu deux fois tant j'ai apprécié cette histoire d'amour, certes, mais dont le message de tolérance a résonné profondément en moi.
Ce roman, dont l'intrigue se situe à l'époque des guerres indiennes, propose un très beau portrait de femme.
Je reconnais que tous les romans de Slaughter sont de qualité inégale. Cependant, je vous encourage vraiment à (re)découvrir cet auteur.
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Une correction d'une critique précédente :
l'action de ce roman se situe incontestablement dans la fin des années TRENTE, pas dans les années cinquante !
Le roman a été publié en 1941, donc avant l'entrée en guerre des Etats-Unis.
De plus, même si aucune date, ni évènement historique n'est évoquée dans le roman il est quasi-certain que l'auteur le situe avant 1939 : vu l'ampleur du roman, l'absence de toute mention, même en passant, de la guerre en Europe serait extrêmement étrange si Slaughter avait voulu placer l'action après cette date.
Enfin, maints détails et l'atmosphère générale, évoquent clairement la Grande Dépression, et le milieu les Années 30.
Ainsi, le thème central du roman , la tentative de mise en place d'une médecine étatisée (qui n'a jamais eu lieu dans la réalité), est le reflet des inquiétudes qu'ont suscité parfois le mouvement d'interventionnisme de l'Etat fédéral qui a marqué la politique de Roosevelt.
Il est d'ailleurs intéressant de voir que les questions qui agitent encore aujourd'hui le débat politique autour de la santé et de la médecine (Obamacare!) étaient déjà posées a cette époque !
Pour le lecteur contemporain, le roman est très "daté" (80 ans environ !), tant dans son style que par la psychologie des personnages, mais c'est ce qui fait tout son charme !
C'est bien pourquoi, incidemment, vouloir "juger" les attitudes des personnages à l'aune des mœurs actuelles est anachronique, et à ce titre, parfaitement absurde !
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Le petit mot laissé par Lilylabest en 2017, seule contribution à son propos, résume parfaitement ce roman d'aventures.
Slaughter ne figure pas au panthéon de la littérature américaine, il semble même être associé à la veine plus ou moins sentimentale du roman de gare. A 13, 14 ou 15 ans ce genre de considérations m'était inconnu, je l'avais découvert à la bibliothèque municipale et je l'avais dévoré.
J'étais incapable à l'époque de mesurer l'authenticité du cadre historique mais qu'importe j'étais conquis. Par la suite, je me souviens avoir frénétiquement recherché d'autres romans de l'auteur pour retrouver ce souffle historique et épique.
Avec succès mais sans égaler le charme des cette première rencontre.
Lecture de jeunesse
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Ecrit il y a plus de quarante ans, ce livre met notamment en évidence la dualité, voire la rivalité, entre les infirmières et les médecins hommes qui dominent à l'époque le monde l'hôpital. C'est très bien raconté avec du suspense sur l'issue des interventions chirurgicales et la destinée des patients.
Un très bon roman sur le monde clos d'un hôpital américain en Floride.
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Frank G. Slaughter est un écrivain américain qui a publié un bon nombre de romans à succès. Mais il a également écrit cette biographie du docteur hongrois Ignace Philippe Semmelweis (1818-1865). Qui c'est, celui-là ? Jusqu'ici, j'ignorais même son nom ! Son immense mérite a été de comprendre que l'asepsie était une condition indispensable dans les hôpitaux, pour éviter les infections.
C'est d'une façon très pragmatique qu'il a fait cette trouvaille Travaillant à Vienne (en Autriche), il était confronté à la fièvre puerpérale qui faisait des hécatombes parmi les femmes ayant accouché à l'hôpital. Or, il constata que la mortalité était très différente dans deux services de la même clinique: pourquoi donc ? Il réalisa que, dans l'un des services, les médecins et les étudiants soignaient les femmes, sans se laver les mains après avoir procédé à des dissections. L'autre service était principalement géré par des sages-femmes, qui se contentaient d'assister les parturientes. En 1847, Semmelweis comprit que, en touchant le corps d'une personne décédée, on pouvait transmettre une "substance cadavérique" pathogène dont la vraie nature était ignorée; à l'époque, on n'avait absolument pas compris le rôle des microbes... Quoi qu'il en soit, l'essentiel était d'imposer à tous les soignants une hygiène très stricte. C'est bien ce que préconisa I. P. Semmelweis. Mais il se heurta à une forte hostilité des "mandarins" et il dut partir pour exercer à Budapest. En réalité, il ne savait pas bien communiquer et son caractère était assez spécial. Sa fin fut très lamentable: interné, soit-disant pour une maladie mentale, il mourut après avoir été tabassé par ses gardiens !
J'ai trouvé ce récit instructif et étonnant. C'est terrible d'imaginer tous ces médecins du XIXème siècle, donnant (sans le vouloir) la mort à leurs patientes ! Et surtout, j'ai bien apprécié l'intelligence de ce médecin obstiné - et peut-être maladroit - qui a eu raison avant tous les autres sur une question essentielle.
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La littérature prend parfois des chemins détournés. A côté de la littérature officielle vint se greffer, dès le début du XXème siècle, un autre type de littérature centrée non plus sur l’auteur, mais sur le lecteur, c’est ce qu’on a appelé les « best-sellers », c’est-à-dire « les livres qui se vendent le mieux » Sur le plan de l’écriture pure, cela ne changeait pas grand-chose, les bons auteurs se vendaient toujours bien et les mauvais continuaient à galérer. Mais peu à peu on vit se profiler de nouveaux auteurs qui, poussés par les éditeurs, cherchaient le « tout-public » et le meilleur tirage possible. Les œuvres proposées, plus faciles d’accès, accusent généralement une baisse de la valeur littéraire (à part bien sûr quelques exceptions notoires) et inversement, quelques auteurs de seconde zone, peuvent, si leur livre se vend bien, accéder au statut d’écrivain.
Cela dit, chez les auteurs de best-sellers, on trouve aussi des écrivains et des œuvres de qualité. L’exemple le plus frappant est Autant en emporte le vent, de Margaret Mitchell, mais on peut citer également des auteurs fort honorables – et honorés en leur temps - comme Louis Bromfield (La Mousson), Pearl Buck (La Terre chinoise) ou… Frank G. Slaughter.
Frank G. Slaughter (1908-2001) a connu une célébrité durable des années 40 aux années 70, aux Etats-Unis et plus encore dans le monde entier. Ecrivain prolifique, il laisse près d’une soixantaine de romans, répartis en deux sources d’inspiration : le roman médical (lui-même était médecin) et le roman historique. Dans ce dernier domaine, il se fit une spécialité du roman biblique, où il donnait vie aux grands personnages de l’Ancien et du nouveau Testament.
J’ai trouvé Afin que nul ne meure, parmi des dizaines d’autres romans, dans ce fameux cagibi que j’ai évoqué dans des chroniques précédentes, et où, théoriquement je n’avais pas accès. Mais allez savoir pourquoi, la clé restait toujours sur la porte… Les papas sont bizarres, des fois, non ?... Ah, papa, pourquoi es-tu parti si tôt ? Nous avions tant et tant et tant et tant de choses à partager…
J’ai tout de suite été conquis par le livre. Il est vrai que j’étais dans mon période Cronin (je suis toujours dans ma période Cronin) et le métier de médecin avait pour moi une aura extraordinaire au point que j’envisageais dans ma candide innocence d’y consacrer mon avenir. Le parcours de Ran Warren n’est pas sans rappeler d’ailleurs celui d’André Manson (La Citadelle – 1937).
Ran est un jeune chirurgien fraîchement diplômé de l’Université de Baltimore. Jeune homme idéaliste et volontaire, il est un praticien hors pair, mais son caractère un peu sauvage le dessert parfois, sauf en amitié où il peut compter sur Tim Brennan (un Porthos en blouse blanche, en plus subtil) et sur Sybilla Barr (belle, énigmatique et inaccessible). Lui-même sait-être un ami fidèle et profond, au point même d’aider un de ses proches, Pee Wee Harter, condamné par la maladie, à partir dans la dignité et sans souffrance. Et puis vient Ann Trent, jolie rousse piquante et fûtée, qui devient la femme de sa vie. La vie s’écoule avec ses drames et ses joies, Ran fait l’amère expérience de la vie professionnelle : docteurs corrompus, ambitions sordides, drogue, adultère, politique (Ran prépare un projet pour l’élaboration d’un système médical nouveau pour les Etats-Unis). Mais l’amour et le courage aidant, malgré les vicissitudes, la vie reprendra ses droits, et avec elle une sorte de bonheur, somme toute bien mérité.
Il faut bien sûr tout replacer dans son contexte : l’Amérique des années 30 n’est pas celle d’aujourd’hui, et Le plan Warren (très socialiste pour l’époque) n’a pas grand-chose à voir avec L’Obamacare des années 2010. A lire donc, sur ce plan-là, d’un point de vue purement documentaire. Toutefois, ne vous privez pas de déguster le roman dans toute sa plénitude romanesque, je vous garantis de passer un excellent moment.
Il n’y a pas à ma connaissance de film basé sur le roman. Tout au plus peut-on mentionner Pour que vivent les hommes, (Stanley Kramer, 1955, avec Robert Mitchum) qui reprend le cadre du roman, et certaines situations. Parler de plagiat, serait certainement abusif, mais on peut remarquer la similitude de titre (Afin que nul ne meure / Pour que vivent les hommes). « Y aurait comme un cousinage » comme dirait Lino.
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L'histoire romancée de Saint Luc qui mène l'enquête sur les traces de Jésus. Passionnant.
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Enfin terminé. Quelle rude épreuve !
Ce livre est d'un style et d'une lenteur inimaginable. Je l'avais mis en pose car quand la motivation n'y est pas, à quoi bon s'acharner. Oui mais voilà, au final je n'ai pas pu me résoudre à ne pas le lire entièrement, quelle tête de mule je puis faire parfois !
Le thème était pourtant porteur de promesses mais malheureusement, l'auteur n'a pas su me convaincre. Je n'ai pas non plus apprécié la trop forte présence du domaine médical et de tout les mots barbares qui l'accompagnent.
C'est vraiment dommage car les derniers chapitres sont plutôt attrayants et la fin est plutôt bien tournée.
Ce n'est donc pas un livre que je relirai, ni que je conseillerai.
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Le Glaive et la croix, écrit pas Frank Gil Slaughter, raconte toute la vie et le parcours de celui que tout le monde connaîtra sous le nom de Constantin le Grand. Cet empereur romain d'Orient, a non seulement réussi à renforcer son pouvoir et ramener un peu de grâce à la décadence du vieil empire romain d'Occident, sur le point de décliner un peu plus chaque jour. Mais il est également le fondateur de l'Eglise chrétienne officielle (création du calendrier, les dates et référence au concile de Nicée en 325) par l'appel d'une voix divine, faisant par la suite condamner les anciennes croyances du peuple romain pour l'obliger ainsi à ne croire qu'en un seul dieu, même s'il ne se fera baptiser que sur son lit de mort. Il devra également faire face aux luttes intestines qui empoisonnent le Sénat de Rome mais aussi celle qui lui viennent de sa propre famille, à commencer par son épouse, et par la suite ses enfants.
Vous l'aurez compris, j'aime la période antique, et j'aime les adaptations de péplum et j'aimerais bien qu'un jour un biopic sur Constantin voie le jour, sans forcément durer trois heures (celui sur Alexandre réalisé par Oliver Stone m'avait semblé interminable) Avis aux amateurs de la période antique!
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Petite pépite (oh le jeu de mots...) de littérature ...
On découvre Shawn, jeune irlandais de petite bourgeoisie certes désargenté mais pas sans une langue bien pendue qui souhaite faire fortune dans la dramaturge...Après maintes aventure (désolé mais je ne spoile pas...) Nous le retrouvons en route pour les Amériques...
Petite découverte dans le grenier de mamie qui pour une fois se révèle intéressante...
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Ce Ran est un héros un peu trop parfait, bien entendu. Mais c'est du roman! Et c'est aussi une réflexion sur le mode d'organisation et d'exercice de la médecine, les questions qui se posent aux USA étant universelles.
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