Freddy Woets

Trop onirique pour moi

Après en avoir lu près de la moitié, j'abandonne

Je suis perdu par le récit.

Les péripéties se suivent sans que j'arrive à me raccrocher à un fil conducteur.

Les personnages principaux se découvrent trop peu pour qu'on s'y attache et il y a beaucoup de personnages secondaires.

Certains apparaissent trop subitement.

Je manque d'un carte pour m'y retrouver ... mais les rêves ont-ils des cartes ?



Le style est toujours celui de Freddy Woets : incisif, fait de phrases courtes

J'avais aimé "Chalk" alors c'est avec plaisir que j'ai entamé "Un soupçon d’éternité".

Il m'est difficile de faire une chronique de ce roman.

Pourquoi ?

Tout le monde ou presque sait écrire, mais savoir raconter son expérience de lecture c'est autre chose !

Comment parler du rêve intimiste d'un auteur ? Des errements d'un fantôme ? Du passage du statut de vivant acteur de la vie (ou pas grande question) à celui d'observateur (puis bien plus).

Au début, le fantôme erre sans comprendre, sans limites, et le style nous plonge dans le même trouble (amusante convergence). Mais le dialogue s'instaure (avec qui ? ... surprise : Il n'y a pas que Lee-Lou). Les rencontres sont savoureuses, et dans ce roman : le dialogue incarne !



Lee-Lou a bien plus de ressources que ne pouvait le supposer son médiocre "géniteur". Géniteur que l'on pourrait reconnaitre bien trop souvent dans le monde des vivants auteurs.



Le fond en est comme dans Chalk, une fine observation de la société et plus précisément de l'édition et de l'art.

Alix vient de déménager avec ses parents dans une vieille maison entourée d'un parc à l'allure sinistre. Très vite des phénomènes étranges s'y déroule. Si certains de ces évènements peuvent être rationnellement expliqués, d'autres le sont moins. Comment expliquer ces murs qui suintent de la mousse rougeâtre, Alix qui se met à jouer comme une possédée du violoncelle, ... Malgré un esprit rationnel, Alix a de plus en plus peur de rester chez elle, et le comportement de ses parents n'arrange rien.



Un roman d'horreur pour jeunes ados qui se lit rapidement et bien être. Nous sommes petit à petit plongée dans l'angoisse et l'atmosphère pesant de cette mystérieuse demeure. A lire à Halloween pour se faire peur !

Simon trouve une flûte surprenante, et finit par s'apercevoir qu’elle héberge un génie. Prêt à exaucer ses voeux bien entendu, car c'est un génie bienveillant. Bienveillant mais pas forcément très doué.

Il tente, ça fonctionne, ou pas ...

Cependant, ça tombe bien, car Simon et sa famille sont sur le point d'être expulsés pour construire une salle de machines à sous. Ils vont perdre non seulement leur maison, mais le restaurant qui est leur gagne-pain, et le plaisir de tout un tas de gens.

Simon, ses copains, et le génie vont tout mettre en oeuvre pour contrer l'horrible promoteur.

On tremble peu avec cette histoire, mais on rit beaucoup.

Des mésaventures de chacun, des erreurs de Metoumtam le génie, des jeux de mots sur les noms.



Une bonne façon d'encourager la lecture pour les petits lecteurs hésitants, et de passer un agréable moment pour les autres !
Lien : https://livresjeunessejangel..

Des récits qui reprennent la légende de la cité engloutie d'Ys — plus ou moins fidèlement d'ailleurs — afin d'y greffer un véritable roman, il en existe plusieurs. Charles Guyot a ainsi écrit un ouvrage (La Légende de la ville d'Ys) qui étoffe simplement la légende. À l'opposé, Karen et Poul Anderson (Le Roi d'Ys : Roma Mater) ont tenté d'ancrer le mythe dans une réalité historique, la chute de l'empire romain, et en le débarrassant au possible de toute intervention fantastique. Dans cet ouvrage, on se situe entre les deux tout en s'éloignant de la légende.



L'action se situe aux alentours de l'an 400. Freddy Woets y inscrit sa ville d'Ys à l'extrémité d'une Armorique romaine, indomptée, en proie à une lutte de succession interne entre les fils du roi. Les raids opérés par les troupes d'Ys sur les intérêts romains ne sont pas du goût des autorités romaines qui lancent donc une expédition punitive en pleine période de délitement de l'empire et d'invasions barbares.



Une atmosphère très étrange se dégage de la description des deux mondes. Le premier, celui des romains, est une société en déliquescence certes, mais encore hiérarchisée. Où les préfets tiennent leurs provinces, doivent en assurer la gestion tout en déjouant les complots politique. Un monde réel, terre-à-terre. À côté de ça, nous avons la cité d'Ys drapée de brumes mystiques, dont les habitants côtoient quotidiennement le monde invisible et les manifestations fantastiques. On dirait observer deux univers parallèles, deux conceptions du monde qui vont s'affronter. L'ancien monde des druides, contre le nouvel ordre des préfets.



Cet ancrage à la fois dans la réalité historique et dans le fantastique donne toute sa saveur au récit, sous la plume élégante de l'auteur.

Après, si le titre fait référence à la cité mythique, les traces de la légende sont très minces. Ys est juchée au sommet d'une falaise plutôt que d'être bâtie sous le niveau de la mer. Ce n'est donc pas les flots qui vont la submerger. Mais bien le nouvel ordre du monde.

Tout d'abord, il faut se faire au style de l'écriture, qui peut repousser bien du monde. Ca ressemble à du San-Antonio, mais ça n'en est pas. Si on arrive à entrer dedans, c'est un univers assez loufoque, qui semble n'avoir ni queue ni tête. Mais on s'y laisse prendre, les choses s'enchaînent bien, on veut connaitre la fin.



On y apprend même du vocabulaire, c'est ainsi que j'ai découvert que l'humanité est conneriogène, terme explicite et amusant que je ressortirais sûrement.



Un de mes gros regrets à propos de ce livre, c'est qu'il est globalement vulgaire et qu'au bout d'un moment, je zappais les passages qui n'apportent rien. C'est dommage, très dommage.
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Une bonne série Urban > Fantasy

Urban > Fantasy ? Qu'est-ce que c'est ?



Urban ?



La série commence par Alfred. Alfred est un perdant, perdu de la vie. Freddy Woets nous décrit son errance en milieu urbain. Alfred promène sa désillusion de bar en hôtel. Il est très bien décrit par l'auteur.

Pas de mépris pour cette homme, à la place on trouve une profonde compréhension pour un homme qui n'a plus de but dans la vie.

Nous sommes tellement structurés autour du "succès dans le travail" et du "bonheur familial" que sans ces deux pilliers, nous sommes à la dérive.



La ville (Paris mais cela n'a aucune importance) est un bon cadre pour cette navigation à vue...



> ?



On glisse petit à petit vers et de plus en plus vers ...



Fantasy ?



Le fantastique, fantasmagorique entre tout à coup dans la vie d'Alfred. Ce rêve éveillé (Aflred se demande bien des fois si ce qui lui arrive est bien vrai car incroyable) prend de plus en plus de place jusqu'à monopoliser tout le récit...

Mais alors Chalk ...



C'est un subtil mélange entre peinture caustique de notre société et fantasmagorie.

Délicat de trouver un équivalent littéraire ou cinématographique, mais je dirais qu'il y a quelque chose de Terry Gilliam : Brazil ou The Fisher King (et c'est un gros compliment).



A la fois rude (mais pas cruel car on sent Freddy Woets plein d'amitié pour ces personnages) et délirant c'est un livre atypique qui n'a pu trouver sans place que chez un éditeur qui prend des risques.



Le récit ne tombe pas dans les poncifs de films pour ado : Non le personnage central ne se retrouve pas idole/héros/sauveur/sur-homme quand on passe dans l'autre monde !

Alfred reste lâche et perdu. Il n'est pas un poids mort loin de là.

Il devient plus acteur de son propre destin et ce de bien des façons.

Style, Ecriture



C'est bien écrit : avec passion et maîtrise. Les phrases dénotent souvent d'un esprit non pas cynique mais caustique.

J'ai particulièrement aimé la maturité de l'écriture.

Je ne connais pas l'auteur (sauf par son interview) mais on sent le bon vivant, le fin observateur, ...

Je pense que Freddy aurait pu écrire aussi bien un roman 100% urban que 100% fantasy.

Là où réside la qualité de la série est ce délicat mélange entre les deux.

Je n'arrive pas à savoir si Freddy Woets a planifié ses tomes ou au contraire s'est laissé emporté par ses personnages et à réussi à retomber sur ces pattes !



Un bonne galerie de personnages (surtout Alfred) sont dépeints avec le regard d'un écrivain qui a fait du chemin dans la vie.

Et ça fait du bien !

En conclusion



C'est bien écrit

C'est à la fois réaliste et délirant (cartésiens s'abstenir)

C'est passionnant : on dévore les 6 tomes

Pour en savoir plus passez chez http://numeriklire.net/2013/06/06/chalk-episode-1-enfin-lache-par-freddy-woets/

sans DRM, sans prix abusif, sans traffic des ventes mais pas sans talent !

Lisez le !

Tout simplement une horreur... Je pense que ce livre tient plutôt d'un essai que d'un roman. L'auteur nous promet une histoire pleine d'intrigue. Au final, on assiste plutôt à un exercice de style qui rappelle dada ou les surréalistes. Vraiment dommage. Une lecture indigeste où l'on se perd sans cesse. J'ai passé un très mauvais moment et j'ai abandonné le livre un peu avant la fin.

Les auteurs de ce livre sont Kochka, Victoire labauge, Jacques Daniel, Stéphanie Tesson et Freddy Woest.

Le thème de ce livre est la danse.Les six histoires abordent six danses différentes : la danse orientale, le hip-hop, le tango, la danse classique, la danse moderne et les claquettes.

Le ton de ce livre est généralement neutre.

La danse de Louisa : Ce qui m'a plu dans cette histoire c'est que Louisa découvre ses origines par la danse.

Hip- Hop Hourra ! :Ce qui m'a le plus plu dans l'histoire c'est le début car il est drôle.

Le personnage principal Hopla fait toujours des bêtises.

Opération Tango : J'ai bien aimé cette histoire car une dame résout une enquête. De plus, grâce à cette enquête, elle apprend le tango. Cette histoire est captivante.

Le bal des faucheurs : Ce qui m'a plu c'est que l'avis des faucheurs sur la danse change, au départ ils n'aimaient pas la danse. J'ai bien aimé car c'est une histoire différentes des autres, c'est de la science-fiction et c'est animé.

Superstar : Le passage qui m'a le plus plu c'est quand les parents sont absents. Alors, le grand frère de Matéo accepte qu'il passe le casting pour être danseur dans une troupe.

Un fantôme ou pas ? : Cette histoire est intéressante car elle prouve que même si on est obèse,on peut danser si on y met de la volonté.

Ce livre est facile à lire et à comprendre, il permet de s'évader.

C'est un livre à ne pas rater.

Je recommande ce livre pour ceux qui aime la danse,les aventures, les enquêtes et les histoires d'amour.

Juliette

Une série prometteuse....

Il est encore trop tôt pour deviner les 5 tomes suivants mais...

la série commence très bien !



Les personnages ne sont pas des héros mais des personnages perdus et complexes.

C'est caustique, sombre et terriblement humain !



Le style est excellent. C'est bien écrit. Bien dosé en humour. Finement observé.

J'ignore si les prochains romans vont confirmer mais il y un mélange

de critique de la société, de personnages qui laisse une emprunte, d’onirisme qui pourrait se rapprocher d'un de mes films culte : Brazil.



Mais je suis sur que l'auteur pourrait nous emmener dans de multiples direction différentes



J'attaque les tomes suivants !

J'ai bien aimé ce livre. C'est l'histoire d'un garçon nommé Vincent qui adore peindre .Il se dispute avec Alma (la nouvelle élève de la classe) et ensuite il lui arrive des aventures hautes en couleur...

Freddy Woets est né à Liège. Il a fait les Beaux-arts et commença à écrire des poèmes. La peinture le poussait à New-York, mais les mots le guidaient vers Paris. Il s'est installé à Paris depuis une vingtaine d’années. Il est tout à la fois journaliste, écrivain, auteur dramatique pour la radio. Il a publié chez Père Castor-Flammarion, Nathan et Magnard. Il signe ici son troisième roman chez Oskar, après La disparue de Bruges et Deux secondes avant la fin du monde.



Avec L'âme emmurée, Freddy Woets signe un roman d'épouvante junior, à découvrir à partir de 11 ou 12 ans. On y trouve toute l'imagerie du roman gothique : une propriété aussi vaste que sinistre, de hauts murs, des statues qu'on jurerait vivantes... Tout est fait pour faire frissonner le jeune lecteur en quête d'émotions fortes !



Si l'ambiance sait se faire angoissante, malheureusement, les événements paranormaux se succèdent bien trop rapidement pour qu'on puisse y croire totalement ! C'est bien dommage, car l'intrigue, prometteuse, sombre et lugubre à souhait, semblait plutôt pas mal ficelée ! On aurait aimé goûter plus longuement le délicieux frisson d'horreur que l'auteur fait naître des décors inquiétants, on aurait aimé sentir se déchaîner la présence malveillante qui habite la propriété de la famille ! Mais Freddy Woets nous prive, hélas, bien trop tôt de la tension étouffante qui fait tout le sel de ce genre de littérature, c'est vraiment frustrant !



Il aurait suffi d'un rien - mais surtout d'envergure et de conviction - pour faire de L'âme emmurée un grand et bon roman frisson ! Toutefois, les jeunes ados qui veulent se faire une gentille frayeur sauront sans doute se contenter de cette histoire de manoir hanté !
Lien : http://histoiredusoir.canalb..

(Critique des tomes 1 à 6)

(...) J’ai eu du mal au début à prendre au sérieux le personnage principal, quinqua à la mollesse assumée qui clame au début du récit « enfin lâche ». Mais au fur et à mesure de la mise en place de l’intrigue et de la découverte des différents personnages secondaires, s’est dévoilé un récit très bien charpenté. Je me suis plu à suivre les nombreuses péripéties, et j’ai enchainé les différents épisodes, la curiosité attisée par les rebondissements en cascade. Ca part dans tous les sens dans un délire hilarant, et c’est vraiment jubilatoire.

Le personnage principal, sorte d’antihéros est entouré d’une multitude de personnages secondaires (peut-être un peu trop ?) tous hauts en couleurs et pour certains, vraiment horripilants. L’auteur n’aime pas faire dans la demi-mesure, et cela se sent tout au long du récit.

(...)
Lien : http://www.lavisdedeidre.org..

Titre : L’âme emmurée

Auteur : Freddy Woets

Éditeur : Oskar

Collection : Fantastique

ISBN : 9791021400535

Prix : 12€95



Résumé : Alix, jeune fille de 16 ans, vit depuis peu dans un manoir tout ce qu’il y a de plus glauque, avec des parents peu intéressés, qu’elle se voit dans l’obligation de vouvoyer.

Mais peu à peu ce manoir révèle de sombres secrets et des évènements effrayants la terrifient. C’est en jouant du violoncelle qu’elle trouve une échappatoire, mais cet instrument semble également davantage déchainer la présence qui hante le manoir.

Alix fait également la connaissance de Samy, jeune poète chanteur aux antipodes de son mode de vie. C’est lui qui l’épaulera là où ses parents ne voient que des élucubrations d’une jeune adolescente à l’imagination trop débordante.



Critique : Un court roman extrêmement prenant, à l’ambiance gothico-gothique, qui se lit aussi vite que se déroulent les évènements. On a peur et on angoisse avec Alix en même temps que l’on vit avec elle ses premiers sentiments amoureux…

Une lecture qui plaira sans aucun doute aux enfants à partir de 10 ans, amateurs de frissons et d’émotions fortes.

Le commentaire de Martine :

Nous continuons le périple dans la vie de René Descartes, mais René est à la fin de sa vie et ne sait pas que la Mort les guette de près. René n’est pas prêt à rendre les armes, il va donc commencer à négocier avec La Mort, Lucifer et ses amis afin de se préparer et décider du moment idéal.

Est-ce que la Mort est capable d’expliquer ce qui se passe de l’autre côté ? Que nous arrive-t-il après le dernier souffle?

Est-il possible que la Mort ne soit pas au courant de tout ce qui se passe après, et où allons-nous ?

Freddy Woets écrit encore une fois un roman onirique, mais avec une vision réaliste de l’énergie positive et noire qui règne sur les humains. Une incision dans la science de la physique qui va soulever plusieurs questionnements et théories qui pourraient avoir un impact sur la vie et la Terre. Tout ce qui permet des observations illimitées de l’impact de l’humain sur la vie. Une bonne lecture qui nous transporte dans les méandres de la réalité des choses et des événements que la vie apporte, je vous recommande de lire Ragnarök avant de lire celui-ci. Comme chaque lecture de Freddy Woets, mon attention est captivée, le déroulement permet de mieux saisir l’immensité de l’imagination de Freddy Woets.


Lien : http://lesmilleetunlivreslm...

Le commentaire de Martine :

Un roman qui demande de prendre le temps, les personnages se découvrant peu à peu. Une histoire remplie de péripéties de tous genres. René Descartes, le protagoniste est épuisé de sa tâche de professeur de français, il est l’auteur d’un livre à succès, ce qui lui permet de prendre la vie comme elle vient. Puis la rencontre à l’improviste avec Élia cette adolescente qui vient tout bouleverser dans la vie de René Descartes. Élia et René ne sont pas des étrangers, est-ce que c’est possible que deux êtres se connaissent depuis des milliers d’années ?

Comment vont-ils découvrir le passé qui leur a permis de se connaître ? Et pourquoi ?

Freddy Woets a une plume qui se démarque par la composition de ses courtes phrases, ce qui permet d’être une lecture, facile à lire. Le genre de récit onirique aussi est une marque de l’auteur. Ses personnages sont lents et s’introduisent lentement dans l’histoire et l’intrigue. Une bonne lecture, qui introduit dans la vision fantastique, des prémices de la vie sur la Terre.
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En tout cas, Chalk n’est pas qu’un simple roman d’urban fantaisie (et SF) bien écrit, aux personnages travaillés, qu’on les aime ou pas, avec de l’humour et un scénario prenant. C’est aussi un roman, qui laisse place à certaines réflexions.
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L’auteur en plus d’arriver à donner consistance à ses personnages (la fille et la mère que j’ultra déteste, Alfred que j’apprécie, Llewella qui m’est toujours aussi mystérieuse, je n’arrive pas à la cerner, Jean-Do qui représente le genre de type chiant, et Gégé, le « voyou », qui m’énerve aussi), il sait quand il faut remettre du piment à l’histoire. Donc vivement la suite !
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Maintenant que tout est clair, j’ai hâte de lire la suite pour voir comment Llewella et Alfred vont s’y prendre, ainsi que de voir où l’auteur vous nous mener avec ce casting pour le film, qui pour le moment m’ennuie toujours autant.
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Sinon, comme je le disais, l’auteur nous a donné quelques informations, notamment sur le fameux CHALK. Suffisamment d’informations pour rendre le tout intriguant et mystérieux, et pas assez pour tout comprendre, ce qui me donne vraiment envie de continuer avec le tome 3. Aussi, on passe de monde en monde de manière abrupte. La frontière entre le réel et l’autre monde (qui reste encore très mystérieux) ne semble pas exister. Du coup, on se retrouve à valser d’un endroit à l’autre comme Alfred, ce qui encore une fois, nous donne l’impression d’être à ses côtés.
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