Pas un mouvement. Proche d'un sommeil de Belle au bois dormant. Même un être aussi petit que moi, Pisello Petit-Pois, peine à percevoir sa faible respiration par les minuscules trous de sa fine cuirasse de chrysalide. Pourtant, à l'intérieur tout bouge, tout se transforme. Secrètement. Minutieusement. Formidablement.