Après dix ans de silence réciproques et non fondés, sinon par la simple vie quotidienne et l’éloignement, nous avions retrouvé notre commun chemin. Je lui écrivis et [Henri Pichette] me répondit le 06 Avril 1990 :
« Heureux que tu m’aies fait un signe si amical. Bien sûr on commence à être bourrés de souvenirs. Mais quoi, mémoire et avenir ne sont point contradictoires ; c’est même quand ça se croise que cela fait une AME. »
‘’In Memoriam- Henri Pichette’’- Revue Septimanie n°6, Février 2001.