AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Frédéric Lecloux (7)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées
Lentement vers l'Asie

C'est amusant combien j'avais envie de lire ce livre et combien j'ai été déçue par le style littéraire ampoulé de ce Belge qui raconte un de ses périples "lents" à travers l'Asie avec sa compagne. Il y a plein de sous-entendus, c'est confus, un peu comme s'il se confiait à des amis qui savent déjà plein de choses de sa vie... Cela me fait penser à ces connaissances qui, parce qu'ils racontent leur vie sur FaceBook, s'imaginent que vous passez VOTRE vie à lire comment se passe la LEUR...

Bref, sans intérêt à mes yeux, seulement me conforter que ce genre de voyage et ce genre de paysage n'est pas pour moi du tout (et ce même si le Réchauffement Climatique pouvait encore nous donner envie de voyager). Il y a des récits de voyage plus sympa à lire que celui-ci.
Lien : https://joy369.unblog.fr/
Commenter  J’apprécie          10
Lentement vers l'Asie

On connait les crétins qui se photographient avec leur téléphone devant la Joconde ou devant n’importe quoi. Voici le selfie du voyageur. Quand le bobo veut s’encanailler, il voyage “à la dure”. Comme s’il s’agissait de rédemption, de s’excuser de son état. Faire des centaines de kilomètres dans la benne d’un camion n’est pas un gage de compréhension de quoi que ce soit. Auto-flagellation très saint-sulpicienne ! De même, emprunter le Transsibérien quand la pratique de la langue se limite à dix mots (mal translitérés) ne permet pas le “contact, les rencontres”, pour employer le vocabulaire à la mode, tendance ! A son crédit, il a quand même noté la crapulerie du clergé tibétain, vaste clique qui exploite les croyances du peuple et la colonisation han à Lhassa. A Katmandou, le voyage des “hippies” n’est plus à la mode, comme elle l’était d’aller en Afghanistan chez les soixante-huitards. Tout se perd ! Bref, vacuité et nombrilisme.
Commenter  J’apprécie          10
L'Usure du monde : Hommage à Nicolas Bouvier

Un beau livre...



Entre voyage et photos... Entre moments de vies et périple, ce livre nous traîne sur les trace de ce monde que nous ne connaissons pas tant que ça. Un monde usé, fatigué, et que l'homme précipite vers sa fin...



Une lecture qui pousse à s'interroger, qui pousse à ouvrir les yeux, et qui permet de voyager.



Bonne lecture à tous.
Commenter  J’apprécie          50
Lentement vers l'Asie

Ce livre est une description du voyage au quotidien et de rencontres, à travers des portraits bien caractérisés. Un récit sur l’Asie, assez réussi car le voyageur est celui qui se donne le temps de la rencontre et de l’échange.
Commenter  J’apprécie          00
Lit national

Une fiction inspirée par la résidence d'écrivain qu'elle a faite dans une fabrique artisanale de matelas. Un texte à la fois ferme et douillet, habité par l'insomnie, la conjugalité, le rêve, la mort, les contes...
Lien : http://rss.lapresse.ca/c/336..
Commenter  J’apprécie          00
Brumes à venir : A la recherche de la Belgique

Belles photos et belle qualité de reproduction.
Commenter  J’apprécie          20
Le simulacre du printemps

24 photos prises dans l’appartement de la grand-mère du photographe Frédéric Lecloux. Des photographies prises pendant «trois jours jours à mesurer la solitude d’un lieu, d’une vie où presque rien n’avait bougé en quinze ans. Ces vingt-quatre photographies sont essentiellement travaillées par la magnitude de ce figement et par l’aberration de l’absence de l’autre.»



Ingrid Thobois a reçu ces 24 tirages, sans indication de date, de lieu ou même d’un prénom. «Toute la place laissée à l’invention d’écrire, à partir d’un espace et d’une silhouette donnés.» Alors pendant des semaines, elle attend. Regarde les images, mais n’écrit pas. «J’ai attendu que chaque cliché se raconte, puis que ces vingt-quatre clichés me racontent une histoire.»



Et l’histoire racontée par ses 24 images est celle d’un monsieur, qu’on suppose dans la force de l’âge, qui vient vider l’appartement de sa mère qui vient de mourir. Devant les déménageurs, venus là pour emporter tout ce qui est à vendre, à donner, à jeter, il se retrouve à devoir faire le tri de ce qui a été gardé amoureusement pendant toute une vie. Que faut-il garder dans tout cela ? Qu’est-ce qui représente, parmi tous ces objets, ce qui caractérise le mieux sa mère ? Qu’aura-t-elle voulu qu’il garde en souvenir d’elle ? Et jeter des choses lui ayant appartenu, est-ce que ce n’est pas aussi un peu jeter ce qu’était sa mère ? «Je reviendrai plus tard enfin pour l’inventaire de tes habits, les albums photos et ta mémoire en carnets. Ai-je le droit ou le devoir de les lire ? Comment être certain qu’un texte n’a été écrit pour personne ? Comment savoir si lire n’est pas violer ?»

(lire la suite...)
Lien : http://www.tulisquoi.net/le-..
Commenter  J’apprécie          20


Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Frédéric Lecloux (30)Voir plus

Quiz Voir plus

Émile Zola hydrologue

La vérité était que le commis avait une peur horrible de l’eau. À Vernon, son état maladif ne lui permettait pas, lorsqu’il était enfant, d’aller barboter dans la Seine ; tandis que ses camarades d’école couraient se jeter en pleine rivière, il se couchait entre deux couvertures chaudes. Laurent était devenu un nageur intrépide, un rameur infatigable ; Camille avait gardé cette épouvante que les enfants et les femmes ont pour les eaux profondes. Il tâta du pied le bout du canot, comme pour s’assurer de sa solidité.

Thérèse Raquin
La Terre

10 questions
27 lecteurs ont répondu
Thème : Émile ZolaCréer un quiz sur cet auteur

{* *}