« De quoi ont-ils peur ? Jusqu’où nos entreprises vont-elles se laisser piller ? Accepterions-nous un tel diktat de la part d’un autre Etat ? Non, décidément je n’arrive pas à saisir pourquoi nous nous comportons en victimes consentantes. Nous sommes devenus les spectateurs de notre propre décrépitude. » p. 205