C'était la première fois de sa vie qu'il tenait une arme à feu, peut-être nourri dans les films d'action qu'il avait vus, lui vient naturellement. Il épaula le fusil et tient en joue sa belle-mère, dont le sang se répandait sur le précieux paquet flottant qui, pendant deux ou trois semaines, avait constitué l'unique sujet de conversation téléphonique entre la mère et la fille.
(Nouvelle : Petrichor, ou l'odeur de la terre mouillée.)