Nationalité : France
Né(e) à : Paris , le 31/03/1956
Né(e) à : Paris , le 31/03/1956
Biographie :
Frédéric Stehr est un auteur-illustrateur.
Né sixième d’une famille de sept enfants, il a fréquenté très brièvement la section sérigraphie de l’École professionnelle supérieure des arts graphiques de Paris.
Il abandonnera les Beaux-Arts au profit de divers petits boulots pour gagner sa vie notamment peintre et charpentier.
Son premier album, "Je n’ai pas faim", paraît en 1983. Depuis, il a publié une soixantaine d’albums dont la série des "Foufours" avec son frère, Gérald Stehr, celle des "Calinours" avec Alain Broutin, et celle des "Mariette et Soupir" écrits par Irène Schwartz.
Il est aussi l’auteur du célèbre "Coin-coin" (1985).
Frédéric Stehr est un auteur-illustrateur.
Né sixième d’une famille de sept enfants, il a fréquenté très brièvement la section sérigraphie de l’École professionnelle supérieure des arts graphiques de Paris.
Il abandonnera les Beaux-Arts au profit de divers petits boulots pour gagner sa vie notamment peintre et charpentier.
Son premier album, "Je n’ai pas faim", paraît en 1983. Depuis, il a publié une soixantaine d’albums dont la série des "Foufours" avec son frère, Gérald Stehr, celle des "Calinours" avec Alain Broutin, et celle des "Mariette et Soupir" écrits par Irène Schwartz.
Il est aussi l’auteur du célèbre "Coin-coin" (1985).
Source : /www.ecoledesloisirs.fr
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de Frédéric Stehr https://www.ecoledesloisirs.fr/livre/grand-inventaire-petits-plaisirs-luchien
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La roulette de Papa Ours et de Pepito est très confortable, et comme tous les ours, ils aiment dormir et rêver.
Rêver ne fait de mal à personne.
Rêver ne fait de mal à personne.
"Non, maintenant il faut rentrer, sinon on va se perdre..."
"Je sens que je vais pleurer très fort."
"Bon, d'accord ! On y va", soupire Picounou.
"Je sens que je vais pleurer très fort."
"Bon, d'accord ! On y va", soupire Picounou.
C'est mercredi, et il fait beau. Helena joue avec sa poupée au bord de la rivière.
Une petite souris arrive et s'installe non loin d'elle. Elle semble très occupée.
"Bonjour", dit Helena. La souris ne répond pas. "Bonjour", répète Helena.
"Oh, bonjour", dit la souris. "Je ne t'avais pas vue. J'attends les autres, ils ne devraient pas tarder. Tu es nouvelle? Tu es en avance..."
" En avance pour quoi?" demande Helena.
Mais la souris ne répond pas.
Une petite souris arrive et s'installe non loin d'elle. Elle semble très occupée.
"Bonjour", dit Helena. La souris ne répond pas. "Bonjour", répète Helena.
"Oh, bonjour", dit la souris. "Je ne t'avais pas vue. J'attends les autres, ils ne devraient pas tarder. Tu es nouvelle? Tu es en avance..."
" En avance pour quoi?" demande Helena.
Mais la souris ne répond pas.
Un matin, par la fenêtre, elle aperçoit un cochon très costaud qui frappe à la porte :
« Ouvre-moi charmante cochonne,
Et je ferai de toi ma compagnonne. »
« Il est beau et il est robuste, il coupera du bois pour l’hiver, voilà le meilleur mari possible », se dit la deuxième cochonne en ouvrant la porte.
« Ouvre-moi charmante cochonne,
Et je ferai de toi ma compagnonne. »
« Il est beau et il est robuste, il coupera du bois pour l’hiver, voilà le meilleur mari possible », se dit la deuxième cochonne en ouvrant la porte.
Ce n'est pas un chapeau, mais un chaperon de velours rouge que m'a offert mon Papyloup qui habite près de la source. Et pour le remercier, je lui apporte cette tartiflette.
Mes chéries, vous êtes devenues de belles et grasses cochonnes. Voici à chacune un sac de pièces d'or. Trouvez-vous le meilleur mari possible...
Picounou sanglote, effondré. ''...plus de maman... plus de surprise... Picounette ?... Picou...nette ? Où es-tu ? Et à présent, plus de Picounette... Je n'aime pas les choses horribles, moi...''
Picounette se force à pleurer très fort.
Son frère, impressionné, est prêt à tout accepter pour qu'elle s'arrête.
"Bon, d'accord !" soupire-t-il, "on y va."
Son frère, impressionné, est prêt à tout accepter pour qu'elle s'arrête.
"Bon, d'accord !" soupire-t-il, "on y va."
Maman Canard sourit: elle sent bien que son petit Coin-Coin tremble encore de peur, "maintenant je ne te quitterai plus ! " lui dit-elle.
Puis elle se roule dans la boue avec son bonnet, se relève et le piétine encore. Souricette rigole. Elle a compris la ruse de son amie.
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