Vous me parlez d'une brillante offensive, tant mieux. Pourtant, chaque fois que j'entends parler d'offensive…, je me représente un soldat quel qu'il soit, mort, tué, sanglant, râlant dans la boue rouge.
Et mon enthousiasme disparait. Représentez-vous ce petit tableau et, si vous avez deux sous de sens commun, je vous défie à l'avenir d'applaudir aux offensives.
Lettre de L.F Céline à Simone Saintu, 22 août 1916