Elle aurait aimé qu’il lui parle, qu’il lui dise ce qu’il avait sur le cœur, mais elle respecta son silence.
Au bout de longues minutes, Julien sécha ses larmes. Pleurer lui avait fait du bien, cela l’avait en partie libéré. Il démarra la voiture et rentra vers Commercy. L’atmosphère était pesante et Théa ne la supportait plus. Elle avait besoin d’entendre le son de la voix de son compagnon, besoin de savoir ce qu’il avait sur le cœur.