Les ronces, sur le bord du chemin,
servent de barrières naturelles.
Leurs épines, l’acidité de leur venin
empêchent les prédateurs de les traverser.
Limaces, escargots, lapins, taupes…
arrivent difficilement à franchir ce barbelé végétal.
S’il n’y a pas de jardinier, les ronces
envahissent les champs, stérilisant le sol.
« Seigneur, comme je suis le jardinier de Ta création,
sois le Jardinier de mon cœur »,
demande l’Ancien au Christ.