Citations de Frida Kahlo (55)
Pour créer son propre paradis, il faut puiser dans son enfer personnel.
Tu mérites un amour décoiffant, qui te pousse à te lever rapidement le matin, et qui éloigne tous ces démons qui ne te laissent pas dormir.
Tu mérites un amour qui te fasse te sentir en sécurité, capable de décrocher la lune lors qu’il marche à tes côtés, qui pense que tes bras sont parfaits pour sa peau.
Tu mérites un amour qui veuille danser avec toi, qui trouve le paradis chaque fois qu’il regarde dans tes yeux, qui ne s’ennuie jamais de lire tes expressions.
Tu mérites un amour qui t’écoute quand tu chantes, qui te soutiens lorsque tu es ridicule, qui respecte ta liberté, qui t’accompagne dans ton vol, qui n’a pas peur de tomber.
Tu mérites un amour qui balayerait les mensonges et t’apporterait le rêve, le café et la poésie
Frida Kahlo
Je serai donc l'amie de ceux qui m'aime telle que je suis.
Je buvais pour noyer ma peine mais cette garce a appris à nager.
Ne fais pas attention à moi.
Je viens d'une autre planète.
Je vois toujours des horizons où tu dessines des frontières
Frida Kahlo
Est-ce que les verbes peuvent s’inventer? Je veux t’en dire un : je te ciel, et ainsi mes ailes s’étirent, énormes, pour t’aimer sans limites.
Sentir dans ma propre douleur
la douleur de tous ceux qui
souffrent et puiser mon courage
dans la nécessité de
vivre pour me battre
pour eux.
Le surréalisme est la surprise magique de trouver un lion dans un placard, là où on était sûr de trouver des chemises.
La seule bonne nouvelle, c'est que je commence à m'habituer à souffrir...
Je n'ai rien car je ne l'ai pas lui.
Ne fais pas attention à moi, je suis d'une autre planète, je vois toujours des horizons où tu dessines des frontières.
"Je voulais noyer mes chagrins dans l'alcool,
mais les salauds ont appris à nager."
Là où tu ne peux aimer,
ne t'attarde pas.
Certains critiques ont tenté de me classer parmi les surréalistes, mais je ne me considère pas comme telle (...) En fait, j'ignore si mes tableaux sont surréalistes ou pas, mais je sais qu'ils sont l'expression la plus franche de moi-même (...) Je déteste le surréalisme. Il m'apparaît comme une manifestation décadente de l'art bourgeois. Une déviation de l'art véritable que les gens espèrent recevoir de l'artiste (...) J'aimerais que ma peinture et moi-même nous soyons dignes des gens auxquels j'appartiens et des idées qui me donnent de la force (...) J'aimerais que mon œuvre contribue à la lutte pour la paix et la liberté ...
À en croire ce que tu m'écris, la Méditerranée est merveilleusement bleue. La connaîtrai-je un jour ? Je ne crois pas, car je ne suis pas née sous une bonne étoile ; pourtant, mon plus cher désir a toujours été de voyager. Il ne me restera que la mélancolie des lecteurs de récits de voyages.
J'ai commencé à peindre... par ennui, car j'étais alitée depuis un an suite à un accident au cours duquel je m'étais fracturé l'épine dorsale, un pied et d'autres os. J'avais seize ans à l'époque et j'étais pleine d'enthousiasme à l'idée de faire des études de médecine. Mais tout s'est arrêté dans le choc entre un bus de Coyoacán et un tramway de Tlalpan...
Même dans un cercueil, je ne veux plus jamais rester couchée !
Le Mexique n'a pas changé, c'est un désordre de tous les diables, il ne lui reste que l'immense beauté de la terre et des Indiens. Chaque jour, les sales États-Unis lui en volent un petit bout, c'est bien triste, mais les gens ont besoin de manger, alors c'est comme ça, le grand poisson dévore le plus petit.
Je trouve épouvantable de voir les riches passer leurs jours et leurs nuits dans des parties, pendant que des milliers et des milliers de gens meurent de faim.
La tristesse est reflétée
dans chaque recoin de mes tableaux,
je ne vois pas la moindre issue
car c'est bel et bien mon lot.