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3.79/5 (sur 7 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Pamiers , le 12/05/1845
Mort(e) à : Paris , le 04/11/1924
Biographie :

Gabriel Fauré est un pianiste, organiste et compositeur français.

Jeune, Fauré joue sur l'harmonium de la chapelle, près de l'école et est conseillé par une vieille dame aveugle.
Élève de Saint-Saëns et Gustave Lefèvre à l’École Niedermeyer de Paris, il est d’abord organiste à l’église de la Madeleine à Paris. Il est ensuite professeur de composition au Conservatoire de Paris, puis directeur de l’établissement de 1905 à 1920.

Avec Debussy, Ravel, Satie et Saint-Saëns, il est l’un des grands musiciens français de la fin du XIXe et du début du XXe siècle.

Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Gabriel_Faur%C3%A9, http://www.musicologie.org/Biographies/f/faure_gabr
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Immersion dans l'univers musical de la fin du XIXe et du début du XXe siècle. Baudelaire est né il y a 200 ans ! A cette occasion, le CNL, avec Isabella Vasilotta, vous proposent le programme « Mélodies baudelairiennes », alliant musique et poèmes des Fleurs du Mal. Revivez ce concert inédit interprété par la pianiste Maroussia Gentet et la soprano Marie Soubestre. Le concert est découpé en 3 thématiques. Découvrez ici « le voyage intérieur », avec les interprétations des poèmes des Fleurs du Mal : -Henri Duparc, L'Invitation au voyage - Ernest Chausson, L'Albatros - Gabriel Fauré, Chant d'automne - Henri Duparc, La vie antérieure Pour en savoir plus : Les artistes Maroussia Gentet, pianiste et Marie Soubestre, soprano, actuellement en résidence avec leur collectif Géoïde à la Fondation Singer-Polignac à Paris, se sont prêtées au jeu de la captation vidéo de ce concert inédit, imaginé par Isabella Vasilotta, dans des conditions d'audition parfaite. Ce même concert a pu être joué, mercredi 15 décembre 2021 lors de la soirée "Mélodies baudelairiennes" organisée au Centre national du livre pour célébrer le bicentenaire de la naissance de Charles Baudelaire. Pour que résonne ce concert et qu'il vive le plus longtemps possible comme un vibrant hommage au poète, le CNL le propose, sous forme de vidéo assortie de son livret. Toute structure souhaitant s'en emparer est invitée à largement le diffuser : https://bit.ly/3IYkS5j #baudelaire #fleursdumal #soprano #piano #poésie #musique #henriduparc #ernestchausson #gabrielfaure Suivez le CNL sur son site et les réseaux sociaux : Site officiel : www.centrenationaldulivre.fr Facebook : Centre national du livre Twitter : @LeCNL Instagram : le_cnl Linkedin : Centre national du livre

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Citations et extraits (24) Voir plus Ajouter une citation
Gabriel Fauré
Pour moi, l'art, la musique surtout consiste à nous élever le plus loin possible au-dessus de ce qui est.
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Jamais printemps ne me parut si beau.
Depuis longtemps, il est vrai, je n'avais pu vivre quelques jours à la campagne, alors que triomphent les parfums et les chants.
J'y viens, chaque année, au début du renouveau, quand les cloches de Pâques sonnent l'éveil de la nature et l'universelle résurrection.....
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Cette route des Dolomites, qui est fermée pendant les mois d'hiver, et dont les Autrichiens, sous couleur d'alpinisme, ont essayé de dissimuler l'importance stratégique, est une merveille d'audace, de conception et d'exécution. Nulle part, d'ailleurs, le tourisme n'est mieux compris et mieux organisé que dans le Tyrol; le caractère du pays a presque toujours été respecté : peu d'hôtels sur les sommets, de funiculaires, de cascades habilement entretenues ou de grottes éclairées artificiellement.
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5. « J'entends les cris, les chants le long des rues... En vérité, toute l'âme italienne semblait rayonner autour de ce foyer brûlant : Fiume ! Ce nom signifiait honneur, patrie, fierté, confiance, amour... Aujourd'hui, Fiume est redevenue un port tranquille, noyé dans la douceur qui enveloppe toutes choses auprès des vagues bleues. Sur le quai, où ne défilent plus les soldats enthousiastes, flânent ou pérorent des gens de mer ou de négoce. Là-haut, tout au sommet de la cité, s'élève le palais où le Commandant [D'Annunzio] veillait et travaillait toutes les nuits infatigablement. Un peu plus bas serpente la ville ancienne, la Fiume primitive aux ruelles tortueuses. Non loin, sur l'autre rive de la Fiumara, voici le faubourg de Sussak, et ce sont les Croates...
[…]
Il y a, outre les Alpes, de bien plus belles villes que Fiume : mais pour ceux qui, comme nous, aiment de toute leur âme la grande Italie d'aujourd'hui, cette cité palpite et frémit. Ce n'est pas un voyage, mais un pèlerinage que l'on accomplit vers ce lieu de gloire, de gratitude et de dévotion. » (Marcel Boulenger, p. 384)
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TABLE DES CHAPITRES

Introduction : Benito Mussolini

Piémont, Ligurie : Henry Bordeaux
Lombardie : Jean-Louis Vaudoyer
Vénétie : Gérard d'Houville
Emilie : Gabriel Faure
Toscane : Paul Bourget
Ombrie : Georges Goyau
Marches : Edouard Schneider
Abruzzes : Maurice Mignon
Rome et Latium : Pierre De Nolhac (de l'Académie Française)
Naples et Campanie : Henry de Régnier
Italie méridionale : Eugène Marsan
Sicile : Marcelle Vioux
Sardaigne : Paul Guiton
Vénétie Tridentine : Ernest Lémonon
Vénétie Julienne : Marcel Boulenger
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4. « Venait-elle aussi d'Espagne, cette charmante coutume du "fastiggiu" selon laquelle les jeunes Sardes faisaient la cour ? Qu'un jeune homme distinguât une jeune fille, que celle-ci l'agréât, les parents, apparemment du moins, ne s'en mêlaient point. La rencontre avait lieu à la promenade, dans une rue de la ville, à l'église peut-être, mais sans qu'une parole eût été prononcée, un signe même échangé en public, ce que la bonne règle n'eût jamais supporté. Les regards suffisaient. Les regards d'amour sont si riches d'expression ! L'amoureux ne se faisait pas présenter ; il ne pouvait bénéficier de rencontres dans des cercles d'amis : il était encore moins admis à pénétrer dans la maison ; mais il lui était loisible, depuis la rue, d'entretenir sa belle autant qu'il le voulait aux grillages du rez-de-chaussée ou aux fenêtres libres des étages. Les parents ne devaient y être pour rien. Il leur suffisait que leur fille ne sortît point de la maison. Lorsque le jeune homme en franchissait le seuil, c'était pour la demande en mariage officielle, et on admettait que les noces se devaient faire dans la quinzaine. Mais le "fastiggiu" pouvait durer des années. » (Paul Guiton, pp. 330-331)
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1. « Les grands navires, leurs fumées, leurs sirènes, le grincement de leurs treuils, le roulement de leurs cargaisons sont là, tout près. Mais, dans le jardin à la fois vaste et clos, tu retrouves un végétal silence. Arbres fruitiers, frères des fruits de pierre que tiennent, en des coupes, des Pomones, statues velues de vert, bassins et longues pergolas de grappes et de corolles... Parterres aux tons vifs ou doux, frais ou violents, allées aimables conduisant à des bancs de pierre sur la prairie qui est un rivage et d'où l'on contemple à l'infini le miroir de l'eau. Le crépuscule est favorable à ce jardin ; les gondoles, au loin, sont les pétales épars d'une très grande fleur noire que quelque dieu triste, jadis, effeuilla. Toutes les cloches jettent à l'espace de l'air et de l'eau leurs sons pleins d'âme. Quelque sirène de bateau marchand y répond par un long cri triste, celui du travail humain et de ses convoitises illimitées. » (Gérard D'Houville, pp. 94-95)
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La musique qu'on entend journellement dans les églises prête souvent à de sévères critiques. Certaines maîtrises de Paris, certaines maîtrises de province, au contraire, se signalent par le choix et par l'exécution d'œuvres vraiment dignes de leur destination.
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3. « On passerait des heures à rêver ici, car cette désolation sans mesure attire. La rumeur de la mer confond les cigales ; le vent dans les hautes herbes a d'inouïs chuchotements, de terribles confidences. Un sentiment d'horreur s'empare de l'esprit à l'idée de tout ce que les hommes abandonnés ont élevé vers les cieux : colonnes, flèches de cathédrales, minarets, pagodes, obélisques, pylônes... C'est une gigantesque prière de pierre que ces Grecs exilés ont dressée là. Et la prière formidable elle-même s'est écroulée... "Que sommes-nous ? Que ne sommes-nous pas ? Le rêve d'une ombre, voilà les hommes !..." s'écrie Pindare. » (Marcelle Vioux, pp. 302-304)
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2. « Encore aujourd'hui, Florence le conserve, ce caractère irréductible. Il suffit de la comparer à la Rome actuelle ou à Paris pour le constater. Ces deux villes sont certes, l'une bien italienne, l'autre bien française, mais elles sont aussi internationales. Florence, non. Elle accueille pourtant beaucoup d'étrangers. Mais – et c'est ici le cas de marquer la différence entre l'internationalisme et le cosmopolitisme – ils tiennent d'elle à mieux servir leur propre pays. Car c'est ceci le cosmopolitisme : s'enrichir sans altérer en soi le sens national. L'internationalisme, le nom seul l'indique, est précisément le contraire. » (Paul Bourget, pp. 142-144)
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