« Mais pour marquer son indépendance d’esprit, l’Espagnole s’arrêtait un moment sur l’avant-dernière marche. Elle se trouvait alors assez près du grenier pour filer en territoire interdit à la Pékinoise si celle-ci se mettait jamais en frais de la poursuivre. Par ailleurs, elle avait, de là-haut, une bonne vue sur la petite chienne en pénitence derrière le poêle. Elle en profitait, pattes repliées, tête penchée au bord de la marche, pour lu chanter pouille. »