Votre récit est rempli d'espoir et vous avez raison. Cela ne sert à rien d'essayer de comprendre, d'être en colère contre tout et rien.
Je crois que le chemin commence quand on voit une lueur au fond (un phare ?), très loin qui nous aide à penser à l'avenir, à vivre avec la douleur et plus contre elle. Je repense aux doux moments passés avec Alexandre à la maternité. Même sans vie, il m'a remplie d'une plénitude incroyable.
Curieusement, je n'étais pas triste de le voir, de le porter, de l'embrasser et de lui parler.
Maintenant je sais pourquoi, parce qu'il est plus fort que moi et va m'aider à continuer.
Merci Gaëlle, la lecture de votre ouvrage m'a ouvert les yeux, fermés depuis le 7 février.
Marie-Hélène
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