« Un matin sans rosé, c’est comme un été sans soleil. »
Dans une société qui idéalise la perfection, on finit par devenir égoïste
J’ai pris un réel plaisir à lire se roman On est de suite plongé dans l’histoire on passe par tellement d’émotions sentiments . On entre dans un monde que ne connais que de loin et que de nom . Jusqu’à la dernière page on se demande se qu’il va arriver a Guilain. Politiquement incorrect, psychologiquement il reste dans la tête se livre .
Écriture fluide .
Au plaisir de continuer à lire d’autre Roman de Gaëtan.
Je reprends peu à peu connaissance. Je me relève dans la
position d’un fauve prêt à bondir. Les sourcils froncés, le nez
plissé, les yeux rutilants, je montre mes dents et rugis. Sans le savoir, le Zinc vient d’entrer dans l’antre de la créature
assoiffée de sang. Je lui saute à la gorge comme un chien
enragé pour le plaquer au sol. Puis, je mords sa nuque et
arrache un morceau de chair que je recrache aussitôt.
Je me rappelle avoir sorti de la poche de mon manteau une vieille carte postale avec l’adresse de mes grands-parents inscrite au dos. Je suis moi-même natif de Bordeaux. Jusqu’en 1991, mes parents et moi ainsi que la grande majorité de mes oncles et de mes tantes habitions tous ensemble sur un immense terrain familial, rue Maurice Utrillo à Pessac, dans la banlieue bordelaise. Chacun avait sa propre maison.
D’ailleurs, mon film préféré était de très loin « Léon » de Luc Besson. Je me souviens très bien d’une réplique du film. Dans une scène, Natalie Portman, battue par son père, demande à Jean Reno : « La vie, c’est comme ça tout le temps ou seulement quand on est petit ? » L’acteur français répond : « C’est comme ça tout le temps ! »
Arcbouté à la façade d’un immeuble, l’amertume s’insinua petit à petit en moi. Une armée de consommateurs, toutes classes confondues, s’empiffrait comme Gargantua sans laisser une seule miette à leurs frères. Leur pingrerie les mènera tout droit en enfer disait un certain Jésus, le premier anarchiste.
D’ailleurs, je détestais les expressions à la con qu’il me sortait à longueur de journée : « Sois un homme ! », « C’est dur la vie ! », « Tu te reposeras quand tu seras mort ! » ou bien encore « Tu comprendras quand tu auras des enfants ! » Mais je n’ai pas envie d’avoir de gosses moi !
Fin 2016, le Parti socialiste – qui n’a de socialiste que le nom – au pouvoir décide de voter une loi pénalisant le client de la prostitution. Dans le même temps, beaucoup de leurs confrères profitent de leurs fonctions pour abuser sexuellement certaines femmes.
En France, nous sommes tous dans le même bateau : le Titanic en l’occurrence. Chacun doit se battre s’il veut trouver une place sur un canot de sauvetage. Et elles sont peu nombreuses. Dans ce cas-là, il n’y a plus aucune solidarité. C’est chacun pour soi.