AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de George Hagen (45)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Les grandes espérances du jeune Bedlam

Un très long roman, écrit en 2007, mais qui aurait tout aussi bien pu l’être au siècle dernier.

Très classique et descriptif, les chapitres s’enchaînent avec des titres annonciateurs qui gâchent un peu le suspens.

Tom Bedlam a eu une enfance à la Dickens dans la misère de Londres.

C’est cette partie que j’ai préférée.

Adulte, il part s’installer en Afrique du sud et fonde une famille.

A partir de ce moment, mon intérêt a un peu faibli.

Des longueurs et des coïncidences de la providence assez invraisemblables.

Ceci dit ça reste un honorable roman qui m’a fait passer de très agréables moments.

Commenter  J’apprécie          150
La famille Lament

La devise de la famille Lament est : "Un Lament voyage toujours". Howard le père en a fait son leitmotiv, il est heureux dans le changement de travail et de pays. Avec sa petite famille, il va traverser tous les continents passant de Barhein pour aller en Rhodésie puis en Angleterre pour s'installer aux Etats-Unis. Une vie de joie, de tristesse et de drames.







Il y a des livres qui n'auraient jamais dû atterrir entre nos mains sans une certaine dose de hasard. C'est le cas pour celui ci. Je n'avais jamais entendu parler de ce titre ni de cet auteur, la couverture ne m'aurait jamais attiré et le résumé ne m'aurait jamais donné spécialement l'envie de le lire hormis peut-être la comparaison a John Irving. Il a fallu une promotion "deux 10/18 acheté un 10/18 offert" pour que ce livre me tombe dans les mains.



Le résultat ? Un coup de coeur total et la découverte d'un auteur qui vaut bien plus que la comparaison réductrice avec John Irving. Lire "la famille Lament" c'est s'embarquer dans une aventure trépidante où les rebondissements sont légions et où l'ennuie est banni. On passe par tous les sentiments , du rire au larmes. Pas de pathos ni de lourdeur, au contraire une grande légèreté de ton et une vision ironique de la vie. Les thèmes comme la mort, l'adoption, l'adolescence, la réussite professionnelle, le rêve américain, le racisme, le couple, etc..., sont traités avec une grande finesse et les personnages sont d'une rare densité. C'est avec un pincement au coeur, qu'une fois le livre achevé, l'on doit quitter cette famille rendue attachante par les joies mais aussi les épreuves qu'elle a du traverser.



Un coup de coeur total pour ce formidable premier roman d'un auteur a suivre.
Lien : http://desgoutsetdeslivres.o..
Commenter  J’apprécie          150
La famille Lament

La vie comme elle vient ! Cette une histoire drôle et émouvante avec cette famille si attachante. Le père entraîne sa tribu là où il trouve du travail. D’ailleurs c’est assez bizarre car nous sommes dans les années 50 et moi qui suis une déracinée (dans mon propre pays simplement en changeant de région) j’ai retrouvé des similitudes dans l’intégration des lament à chaque arrivée sur un nouveau continent. Les Africains blanc qu’ils sont connaîtront le pire de l’intégration et du racisme aux états unis……ça fait sacrément réfléchir même dans un roman. ! Alors me voilà suivant les Lament pour une vie meilleure, voyant les garçons grandir et la lassitude qui gagne peu à peu Julia aux cours de ces années de voyage ! Will , élément fort de cette famille voudrait aussi une vie stable….De drame en drame, de joie en joie j’ai suivi le déclin de cette famille qui reste unie malgré la pauvreté, la dépression du père et la fin plus que dramatique. Une belle leçon que ce livre qui nous rappelle que nous ne sommes pas toujours maîtres de notre destin et qu’il faut l’accepter avec humilité et fierté !




Lien : http://pyrouette.canalblog.c..
Commenter  J’apprécie          140
Les grandes espérances du jeune Bedlam

Une fois de plus, après La famille Lament, George Hagen nous emmène suivre le destin d'une famille en Afrique du Sud.

Mais avant cela, il faut d'abord passer par Londres, à la fin du XIXe siècle, avec ses industries, ses fumées de cheminées, son smog et les conditions de vie déplorables des ouvriers démunis. Car c'est dans ce milieu que Tom Bedlam voit le jour.

Les grandes espérances du jeune Bedlam, comme son titre l'indique, est une réinterprétation "à la sauce Hagen" des Grandes espérances de Charles Dickens. Tom Bedlam y prend la place de Pip en tant que héros de l'histoire et il se débrouille plutôt bien dans ce rôle compliqué : Tom m'a semblé moins pleurnicheur et un peu plus débrouillard que Pip. Le jeune homme est toutefois marqué par plusieurs drames et par un parjure qu'il a été forcé de commettre à l'adolescence : tout cela se répercutera sur la vie future de Tom et sur l'éducation qu'il donnera à ses quatre enfants.

Les événements historiques ne manquent pas dans cette grande saga. Hagen nous parle ainsi de la guerre des Boers et de la première guerre mondiale, en soulignant particulièrement les drames humains que ces deux conflits ont provoqués et l'horreur vécue par les soldats.

On ressent aussi, dans la seconde partie du roman, tout l'amour de l'auteur pour les pays africains : on a plaisir à lire les jolies descriptions de la nature et des jardins de Gantrytown, la ville d'adoption de Tom et de son épouse.

Comme pour le premier roman de Hagen, La famille Lament, j'ai trouvé la fin de ce roman-ci un peu maladroite. L'auteur parvient très astucieusement à apporter une réponse à toutes les questions soulevées tout au long du récit , mais les 50 et quelques dernières pages m'ont parues très longues par rapport au reste de l'histoire.
Commenter  J’apprécie          130
La famille Lament

Dans la famille Lament, on voyage beaucoup. Vraiment beaucoup.

Howard, le père de famille, ingénieur spécialisé en valves, aime changer de métier et tenter de trouver LE poste parfait pour ses compétences (car Howard est brillant, il faut le reconnaître). Malheureusement pour lui, au fur et à mesure de ses pérégrinations, ses espoirs de trouver l'emploi idéal s'amenuisent de plus en plus.

Julia, son épouse, et leurs trois enfants, Will, Julius et Marcus sont bien forcés de suivre Howard dans tous les pays dans lesquels ce dernier décide d'installer (pour un temps au moins), sa petite famille. Et comme Julia s'en rend compte, à chaque déménagement, la famille Lament perd quelque chose.

Les drames sont donc aussi nombreux que les déménagements dans cette sympathique famille. Et j'avoue que le dernier drame vécu par la famille, à savoir m'a laissée un peu perplexe, en me donnant l'impression d'une fin bâclée par l'auteur. Jusque là, le récit, quoique très long, était resté agréable à suivre et l'évolution des personnages était logique. Et puis, d'un coup, les choses s'emballent et C'est presque comme si George Hagen, ne sachant pas comment boucler le destin de ses personnages, avait décidé de

Malgré ce petit bémol, c'était une belle lecture, amusante et émouvante, avec des personnages imparfaits et attachants.
Commenter  J’apprécie          120
La famille Lament

La famille Lament raconte les pérégrinations d'une famille excentrique dont le périple les amènent aux quatre coins du monde, malgré la bougeotte d'Homard le père, Julia la mère tente d'apporter une certaine stabilité au coeur de la famille. Magnifique roman sur la tolérance, le respect de l'autre, le droit au rêve (même si les désillutions sont parfois terribles), George Hagen fait une entrée fracassante avec ce premier roman dans la lignée des grands auteurs anglo saxons (Irving, Boyd, Ford). Ce roman fleuve d'une vie vous emporte dans une vague d'émotions entre rires et larmes. Plaisir garanti.
Commenter  J’apprécie          120
La famille Lament

Tout commence dans les années 50 en Rhodésie du Sud (actuel Zimbabwé)

Nous découvrons à la maternité Julia Lament (et Howard, son mari, et le bébé qui n'a pas encore de nom)

Après un rebondissement que je ne citerai pas (mais qui m'a fait venir les larmes aux yeux), la jeune famille part à Bahrein pour le métier de Howard, ingénieur.

Julia élève le petit Will, 3 ans, et se lie d'amitié avec une américaine, Trixie, qui a un fils du même âge. A peine arrivé à un poste, Howard a la bougeotte et envisage un nouveau pays.

Ce sera ensuite la Rhodésie du Nord juste avant son indépendance pour devenir la Zambie, l'Angleterre, les USA. La famille s'agrandit...

La vie de cette famille est toute simple, parfois drôle, parfois triste ...chaque déménagement est à la fois une aventure et une perte d'amitié. J'ai beaucoup aimé cette famille « normale » à qui je me suis attachée.. 18 ans d'une vie avec des événements historiques en filigrane afin de se situer dans le temps.



La quatrième de couverture salue ce premier roman de l'écrivain George Hagen en le comparant à John Irving. J'adhère à cette comparaison, on sent que l'auteur a mis de « l'âme » et de « l'amour » dans tout ce petit monde ....
Commenter  J’apprécie          112
La famille Lament

Je vais reprendre l'avis de certains lecteurs mais je confirme qu'il y a bien du John Irving dans ce nouvel auteur.

J'ai lu quasiment d'une traite les pérégrinations de la famille Lament avec un réel plaisir. On suit sur 18 années le destin de cette famille qui aurait pu être ordinaire mais qui ne l'est pas du tout en fin de compte et qui nous fait passer du rire à l'émotion tout au long du livre.
Commenter  J’apprécie          100
Les grandes espérances du jeune Bedlam

*** Long, trop long ...***



Avec ce roman, je me suis retrouvée en plein dilemme, et je suis sûre que ce genre de problème vous est déjà arrivé...

A chaque chapitre : Dois-je continuer ?

J'ai continué ! J'attendais la chute, des rebondissements ... Hélas, on ne pouvait pas parler de rebondissements parce que on s'y attendait finalement !

Je suis donc arrivée à bout de ce pavé de près de 700 pages et quel soulagement d'arriver à la dernière page !

Parce que oui, ce roman, est long, beaucoup trop long, l'auteur étant un brodeur, et beaucoup de lignes non nécessaires à l'histoire de cette saga familiale qui concerne un seul personnage : Tom Bedlam.



Nous sommes à Londres, milieu 19ème siècle. Tom, vit avec sa mère qui travaille tous les jours dans une usine de porcelaine. Ils vivent dans la misère, alors que Tom a de grandes ambitions. Il voit son père très rarement, un artiste loupé, qui vit dans la rue, excentrique et qui n'hésite pas à voler les siens.

Lorsque sa mère décède dans la folie, Tom est pris en charge par son riche grand-père ayant dénigré la mère de ce dernier. Tom peut enfin aller dans une école de garçon, ayant appris entre temps qu'il a un frère qui a été abandonné. A partir de ce jour là, Tom n'a qu'une idée, le retrouver...

Le temps passe, Tom devient médecin et fuit l'Angleterre pour l'Afrique du Sud, avec sa dulcinée, afin d’exercer son métier avec amour.

Avec sa femme Lizzy, il aura quatre enfants : trois filles et un garçon.

Tom n'a toujours pas retrouvé ce frère, alors que ses propres enfants lui donne beaucoup de tracas, en plein milieu de la guerre des Boers en Afrique du Sud en 1899.

Les enfants grandissent sans leur mère, morte de maladie et Tom doit gérer son métier et les problèmes familiaux.

Quand son fils Arthur part dans les tranchées en France en 1917 et que ses filles le quitte pour faire leur vie, Tom retourne en Angleterre pour retrouver son amour de jeunesse Audrey et fera tout pour sauver Arthur des bombes. C'est là, enfin qu'il connaîtra les vérités sur sa vie ...



Une saga familiale trop longue, trop plate, sans suspense, sans rebondissements à mon goût.

On sauve un peu la lecture grâce à l'humour de certains personnages où on retrouve le côté loufoque "So British".

Le roman fait près de 700 pages où on saute aisément des paragraphes qui ne servent à rien dans la compréhension de l'histoire.
Commenter  J’apprécie          70
La famille Lament

Les péripéties d’une famille farfelue !

Les Lament sont d’irréductibles voyageurs.

De l’Afrique du Sud aux Etats-Unis, en passant par l’Angleterre,

ils nous entraînent à leur suite dans des aventures rocambolesques pendant une vingtaine d’années.



Un roman palpitant au rythme soutenu que vous aurez du mal à quitter.

Commenter  J’apprécie          70
Les grandes espérances du jeune Bedlam

La saga d'une famille, deux si on inclut les très improbables voisins Limpkin, à travers les tournants du destin. Les personnages sont très typés et magnifiquement campés. Est-ce l'humour anglais? Mais toujours est-il que j'avais un sourire en coin tout au long de cette lecture malgré les épisodes plus tragiques. Construit de courts chapitres s'intéressant à l'évolution de différents acteurs, le tout se lit très facilement et soutient l'intérêt sans coup férir. C'est bien écrit sans être une prose trop recherchée. D'une certaine façon, surtout à cause du ton un peu badin et de l'attention portée à la vie familiale, on peut voir des similitudes avec "Le monde selon Garp" de John Irving. Bref un bon roman qui devrait plaire aux lecteurs friands d'épopée familiales hors normes.
Commenter  J’apprécie          60
Les grandes espérances du jeune Bedlam

Tom Bedlam est élevé par sa mère qui travaille dans une fabrique de porcelaine. A la mort de celle-ci, son grand-père lui paiera des études à l'école de Hammer Hall. Traversant beaucoup d'adversités, Tom deviendra médecin et partira s'installer en Afrique du Sud avec sa femme Lizzie.

Roman palpitant sur fond de saga familiale.

Un peu long sur la fin, surtout les passages sur la guerre. Un roman qui se décline en 2 parties : la 1ère partie, nous décrit l'enfance de Tom et sa vie à Hammer Hall ainsi que ses études de médecine et la 2ème partie, nous décrit la vie de Tom et de sa famille en Afrique du Sud.
Commenter  J’apprécie          50
La famille Lament

La famille Lament c'est Howard, le père, un ingénieur passionné par les vannes (pas les blagues mais le dispositif qui sert à arrêter ou modifier le débit d'un fluide) l la fougueuse Julia, la mère et enfin leurs trois enfants: Will l'ainé plus une paire de jumeaux turbulents . La naissance de Will sera le premier événement malheureux qui suivra Howard et Julia tout au long de leur vie.

C'est une drôle de famille, trimballée à travers le monde par le père toujours à la recherche d'un coin où l'herbe est plus verte, d'un lieu parfait où il sera en mesure de réaliser ses rêves et de se sentir chez lui. Mais quelque soit le pays où ils s'installent , ils se sentent toujours comme des étrangers, jamais tout à fait adaptés à leur environnement et ils se déplacent d'un continent à l'autre chaque fois que les choses deviennent un peu rudes là où ils vivent.

Je n'ai pas réussi à ressentir de l'intérêt pour les tribulations de cette famille dont les caractères manquent de profondeur et malgré leur excentricité, ils ne m'ont inspiré aucune sympathie. L'écriture de George Hagen n'a pas réussi, selon moi, à donner vie à ses personnages et trop d'exagération sévit dans le récit de leurs péripéties pour les rendre crédibles. Le commentaire social explicite, difficile à manquer, sur les préjugés, le racisme etc. ne m'a pas parlé non plus. Bref, un gros flop pour cette lecture insipide qui ne m'a procurée aucun plaisir.
Commenter  J’apprécie          53
Les grandes espérances du jeune Bedlam

Un hommage à Dickens et Shakespeare dans ce roman "victorien" qui narre les aventures de Tom Bedlam, un enfant pauvre des faubourgs de Londres, que l'on suit de son enfance dans les années 1880 jusqu'à la fin de la première guerre mondiale. Des personnages hauts en couleurs et des situations pleines de rebondissements : George Hagen ose la bonne vieille recette des feuilletons littéraires, pour le plus grand plaisir du lecteur. Pour autant rien n'est gratuit dans cet amoncellement de coups de théâtre, tous plus inattendus les uns que les autres. On y croit et au final la saga tombedlamesque s'avère d'un humanisme qui fait chaud au cœur, une fois le livre refermé. Un récit passionnant, remarquablement traduit, dont on se souviendra longtemps...
Commenter  J’apprécie          40
La famille Lament

Voici encore un beau livre, depuis des mois sur mon étagère, je ne sais plus qui me l’a conseillé mais je me suis régalée. Une famille comme beaucoup d’autres avec les accidents de la vie. Des moments très douloureux, , le vol de leur bébé à la maternité que l’on remplace aussitôt par un autre, le silence autour de cet enfant qui grandira en se demandant pourquoi il est si différent des autres membres de la famille. Une famille globe trotteuse, qui va d’un pays à l’autre dès que les circonstances deviennent difficiles ils partent vers une autre destination. Les parents se déchirent, mais l’amour est toujours présent et l’enfant adopté réconforte, s’occupe des uns et des autres, il est le tampon entre tous. Très bien écrit, un ton lucide mais plein d’espoir. A découvrir Nena
Commenter  J’apprécie          40
La famille Lament

Une famille bohème avec ses secrets, ses malheurs, ses rancoeurs, ses déboires, ses forces et ses faiblesses. Une famille qui voyage, s'adapte, se mésadapte, repart, réussit, échoue,évolue. Une famille à laquelle on s'attache et que l'on quitte à regret en tournant la dernière page. Du rire et du drame. Ce premier roman de George Hagan se lit comme du John Irving. On a hâte au prochain.
Commenter  J’apprécie          40
La famille Lament

Un bonheur de drôlerie, d'ironie, à lire et à dire que c'est à lire. Les mauvais esprits et les pisse vinaigres passent leur chemins. Et les bonnets de nuits aussi.

La Famille Lavent c'est à chaque page une verrine avec un grain de poivre dedans mais on sait pas à quel niveau.

Succulent.

Commenter  J’apprécie          30
La famille Lament

Les voyages formant la jeunesse dit-on, mais cimentent-ils également la famille? Plus ou moins selon ce livre où les tribulations des Lament les exposent autant au rejet larvé de l'étranger qu'à l'implacable cruauté des enfants devant la différence, si minime soit-elle. Mais le coté positif y est également, avec des rencontres d'amis sincères et la découverte de cultures autres, quoique toujours dans des milieux somme toute comparables que sont l'Afrique du Sud, la Rhodésie, l'Angleterre et les États-Unis; on est loin ici de l'exotisme de l'Inde ou de l'Asie...



On voit se développer au fil des ces déplacements un famille qui restera soudée malgré les épreuves, bien que sa dynamique interne change drastiquement en cours de route. Roman initiatique pour Will qui, de bébé adopté dans des circonstances presque loufoques, deviendra un jeune adulte possiblement apte à poursuivre la vie nomade des Lament. Les aventures et la transformation graduelle de cette famille m'ont intéressées du début à la fin, les personnages sont fouillés, la relation épistolaire avec la grand-mère est un point d'ancrage discret mais efficace, l'ironie n'est jamais bien loin et les thèmes plus délicats sont traités avec tact et respect. Bref des très bons moments passés avec ce clan sympathique.
Commenter  J’apprécie          30
Les grandes espérances du jeune Bedlam

J’ai enfin fini ce matin ce gros roman… mon avis a évolué au fur et à mesure de la lecture. Il faut dire que le destin de Tom Beldam est fait de rebondissements en tout genre, et que George Hagen sait nous emmener à sa suite.



Indéniablement influencé par les romans de Dickens, Hagen crée un personnage intéressant. Nous suivons les aventures de Tom Bedlam depuis un quartier industriel de Londres à la fin du XIXème siècle, jusqu’en 1918 en Afrique du Sud. Tom, élevé par sa mère, travaille d’abord dans une usine de porcelaine, puis, après la mort de sa mère, part en Ecosse faire ses études… c’est là que les fils de son destin vont se nouer !
Lien : http://leslivresdegeorgesand..
Commenter  J’apprécie          30
La famille Lament

Qu'est-ce qui pousse la famille Lament à voyager sans cesse, errant à travers le monde avec leur destin à la fois hors du commun et si banal ? A travers les yeux de Will, leurs fils aîné, se trame une histoire dont on redoute la fin, tellement la familiarité avec les Lament nous fait quitter à regret leur univers loufoque et attachant.
Commenter  J’apprécie          30




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Listes avec des livres de cet auteur
Lecteurs de George Hagen (399)Voir plus

Quiz Voir plus

Ce film d'horreur et d'épouvante est (aussi) un roman

Jack Torrance, gardien d'un hôtel fermé l'hiver, sa femme et son fils Danny s'apprêtent à vivre de longs mois de solitude. Ce film réalisé en 1980 par Stanley Kubrick avec Jack NIcholson et Shelley Duvall est adapté d'un roman de Stephen King publié en 1977

Le silence des agneaux
Psychose
Shinning
La nuit du chasseur
Les diaboliques
Rosemary's Baby
Frankenstein
The thing
La mouche
Les Yeux sans visage

10 questions
966 lecteurs ont répondu
Thèmes : cinema , horreur , epouvanteCréer un quiz sur cet auteur

{* *}