Et si notre consommation de livres demeure aussi faible qu’auparavant, ayons au moins la décence d'admettre que cela est dû au fait que la lecture est un passe-temps moins captivant que les courses de chiens, le cinéma ou le pub, et arrêtons de raconter que les livres, achetés ou empruntés, coûtent trop cher.