La démocratisation des produits de luxe dans l'après-guerre a été une aubaine pour nos gouvernants. Certainement que le fish and chips, les bas en viscose, le saumon en boîte, le chocolat à bas prix (cinq barres de soixante grammes pour 6 cents), le cinéma, la radio, le thé noir et les paris sportifs ont à eux tous évité une révolution.