Assis le dos à un mur, le fusil d’assaut AK-74 posé à ses côtés, Abou Bakr
al-Baghdadi salue la mémoire des « martyrs », dont celle d’un
commandant, un Belge. Un certain Abou Yassir al-Belgicki.
Aujourd’hui, les services de renseignement ont la quasi-certitude
qu’il a désigné ce jour-là par l’un de ses noms de guerre
le Belgo-Marocain Oussama Atar.