En réalité, le vivant aborde son entourage avec des partis pris qui orientent ses démarches, et inspirent sa manière de déchiffrer le paysage en chaque phase de son existence. Il obéit à celles de ses tendances… Et le même paysage changera de sens pour l'animal ou pour l'enfant, selon qu'il a faim, qu'il a soif, qu'il est fatigué ou qu'il dispose d'une énergie surabondante à dépenser. La conscience n'éclaire donc jamais d'une manière égale la totalité du champ matériel de l'action.