Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Oklahoma
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Né(e) à : Oklahoma
Biographie :
Georgina Gentry, de son vrai nom Lynne Murphy, est auteure de romance.
Diplômée à Université d'État de l'Oklahoma, elle a été professeur à la Fondation Ford.
Elle a rencontré au collège son mari qui a des ascendances indiennes et c'est tout naturellement qu'elle a opté pour des intrigues de style western.
Mariée et mère de trois enfants, elle vit à Edmund dans l'Oklahoma.
Georgina Gentry, de son vrai nom Lynne Murphy, est auteure de romance.
Diplômée à Université d'État de l'Oklahoma, elle a été professeur à la Fondation Ford.
Elle a rencontré au collège son mari qui a des ascendances indiennes et c'est tout naturellement qu'elle a opté pour des intrigues de style western.
Mariée et mère de trois enfants, elle vit à Edmund dans l'Oklahoma.
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Elle venait de lui offrir sa virginité, près d’un feu de camp, à même le sol. Ce n’était pas ainsi qu’elle avait envisagé de découvrir l’amour, mais peu lui importait. Elle n’avait plus qu’une idée en tête : garder cet homme superbe en
elle et accomplir avec lui l’acte le plus primitif qui soit.
elle et accomplir avec lui l’acte le plus primitif qui soit.
Les règles sont faites pour être transgressées.
On disait d’une femme qu’elle était laide comme un coyote quand un homme pouvait se saouler, passer la nuit avec elle, se réveiller dans ses bras et préférer se couper le bras pour s’en aller plutôt que de la réveiller et de l’affronter.
Un homme ne sort pas avec une fille parce qu’elle est intelligente !
Un homme peut porter les mêmes chaussettes pendant une année entière sans le moindre problème. La plupart ne changeraient jamais de sous-vêtements si leurs femmes ne les y obligeaient.
Les femmes sont des créatures sournoises et elles sont bien plus futées que nous. L’intelligence ne m’intéresse pas. C’est la beauté qui me plaît.
Si les femmes avaient le droit de s’approprier un terrain, la plupart n’avaient pas le courage nécessaire pour s’y risquer.
Il savait pertinemment que les femmes adoraient les voyous. Elles rêvaient toutes de les remettre dans le droit chemin.
Le véritable courage, c’était d’avoir peur mais d’avancer malgré tout. Telle était la devise des éleveurs texans.
Les femmes n’ont pas le droit de vote. Mais l’union fait la force. Les femmes sont à même de changer les choses.
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