Enfin, une dernière vague d'émigration, plus marginale, se déroulera entre les années 1893 et 1904 en direction de la Russie et de la Roumanie. Elle concernera essentiellement des jeunes filles, au nombre d'environ quarante, qui s'expatrieront pour devenir gardes d'enfants ou institutrices dans des familles de l'élite soucieuses de donner à leur progéniture une éducation tout empreinte de culture française.