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1666 de Geraldine Brooks
C'est une chose que de connaître le sens des mots, c'en est une autre que de comprendre l'effet qu'il doivent produire.
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1666 de Geraldine Brooks
C'est une chose que de connaître le sens des mots, c'en est une autre que de comprendre l'effet qu'il doivent produire.
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Le Livre d'Hanna de Geraldine Brooks
Elle était ici pour nous éprouver, pour voir s'il y avait des gens capables de comprendre que ce qui nous unissait était plus fort que ce qui nous divisait. Que le fait d'être un homme compte plus que d'être juif, musulman, catholique ou orthodoxe. |
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Le Livre d'Hanna de Geraldine Brooks
Prendre soin de cet enfant en difficulté lui a fait du bien. Il a ainsi trouvé le but que son travail avec moi, pour lequel il n'a guère d'aptitude, ne lui avait pas procuré. Je pense qu'il s'est pris d'affection pour le petit, et que ça l'aide à supporter l'absence de sa soeur. J'essaie de la remplacer de mon mieux, mais comme nous le savons tous, rien ne peut compenser les pertes subies.
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Le Livre d'Hanna de Geraldine Brooks
Tu est restée dans ton joli appartement pendant toute notre guerre et tu nous as regardés crever sur ton écran télé. Et tu t'es dit "Quelle horreur" et ensuite tu es allée te préparer une autre tasse de café hors de prix.
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Le Livre d'Hanna de Geraldine Brooks
En Angleterre, le monde de l’art est un aimant absolu pour les fils cadets de lords appauvris, ou pour les femmes du nom d’Annabelle Quelque-Chose-tiret-Quelque-Chose qui s’habillent en caleçons noirs et cachemires orange foncé et sentent vaguement le labrador mouillé. |
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L'autre rive du monde de Geraldine Brooks
Dans ce monde déchu, voilà notre condition. Chaque bonheur représente un rayon de lumière entre les ombres, toute gaieté est associé au chagrin. Il n'est pas de naissance qui ne rappelle une mort, pas de victoire qui n'évoque une défaite.
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Le Livre d'Hanna de Geraldine Brooks
Tu es restée dans ton joli appartement pendant toute notre guerre et tu nous as regardés crever sur ton écran de télé. Et tu t’es dit « Quelle horreur ! » et ensuite tu es allée te préparer une autre tasse de café.
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L'autre rive du monde de Geraldine Brooks
Vous êtes comme ces grains de sable. Chacun est une infime particule. Une centaine, plusieurs centaines, qu'importe ? Jette-les en l'air. Tu ne les retrouveras même pas une fois qu'ils seront retombés sur le sol. Ils sont infinis. Vous vous déverserez sur cette terre, et nous serons étouffés. Vos murs de pierre, vos arbres morts, les sabots de vos bêtes étranges piétinant les bancs de palourdes. (…) Vos murs vont s'élever partout et ils finiront par nous exclure.
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La solitude du docteur March de Geraldine Brooks
Je vous demande simplement de voir qu'il y a une seule chose à faire quand nous tombons, c'est de nous relever et de continuer d'avancer dans la vie qui s'étend devant nous, et d'essayer de faire le bien dont nos bras sont capables pour les êtres que nous rencontrons en chemin.
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1666 de Geraldine Brooks
La peste est d'une semblable cruauté. Elle frappe sans relâche et attise la douleur, si bien que lorsque vous pleurez encore une personne que vous aimiez, une autre succombe à la maladie dans vos bras.
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Quelles sont les dates de début et de fin de la Seconde Guerre mondiale ?